Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
«The goal of this study was to investigate the association between harsh parenting, in the absence of severe maltreatment, and subclinical anxiety symptoms, measured yearly from 2.5 to 9 years old.» (p. 958)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Participants were recruited in two related cohorts from two prospective longitudinal studies: in 2001, I was 5 years old […] and The Quebec Longitudinal Study of Children’s Development […]. The total sample of 2,174 youths born in Quebec, Canada, between 1996 and 1998 […] were followed since birth. Youth were evaluated yearly between 2.5 and 9 years old […]. For the purpose of the current study, [the research team] narrowed down the cohort to 1,761 possible participants after selecting those for whom data on their anxiety symptoms profile and their parents’ harsh parenting practices were collected at least three times from the time they were 2.5 years old until 9 years old.» (p. 958) «Structural neuroimaging was performed for 94 healthy youth from the birth cohort without anxiety disorder (12–16 years old) at the Geriatric University Institute of Montreal […].» (p. 961)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

«The key findings from this study are the smaller prefrontal cortex and amygdala volumes among youth who have experienced early high levels of harsh parenting over time during childhood, compared to those who have not. The second most important findings are significant interactions between harsh parenting and subclinical anxiety symptoms levels for amygdala volume and rostral anterior cingulate cortex thickness. Youth with high subclinical anxiety symptoms, compared to youth with low subclinical anxiety symptoms, presented […] lower amygdala volume and […] greater rostral anterior cingulate cortex thickness, when harsh parenting was low; greater amygdala volume without significant rostral anterior cortex thickness difference, when harsh parenting was high. Youth with high harsh parenting over time, compared to youth with low harsh parenting, presented […] lower amygdala volume and […] greater rostral anterior cingulate cortex thickness, when subclinical anxiety symptoms were low; greater amygdala volume without significant rostral anterior cortex thickness difference, when subclinical anxiety symptoms were high.» (p. 963-964)

1. Objectifs

Intentions :
«The overall aim of the present study [is] to learn about the experiences of families raising a child with a neurodisability, and to gather new knowledge that could be used to develop interventions that target family outcomes.» (p. 11)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«The sample consisted of 196 Canadian mothers with a child with a neurodisability age 4 to 12 years old, and were recruited from major health centers in Quebec, Ontario and Alberta.» (p. vi) «This study was undertaken as a secondary data analysis of the Parenting Matters! Study.» (p. 63)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

Les résultats [montrent] que la variance de l’appréciation cognitive positive était prédite par le revenu du foyer, l’âge de l’enfant au diagnostic, et le contrôle de l’adulte en cas d’échec. La relation était inverse entre l’appréciation cognitive positive et le revenu du foyer, l’âge de l’enfant au diagnostic, et le contrôle de l’adulte en cas d’échec. La variance de l’appréciation négative était expliquée par la complexité médicale de l’enfant, une complexité médicale plus élevée prédisant une plus grande appréciation cognitive négative. Les résultats [montrent aussi] que ni les variables de comportements parentaux, ni les variables d’attributions parentales, n’étaient des modérateurs de la relation entre les difficultés comportementales de l’enfant et l’appréciation cognitive positive ou négative de la mère. Certaines de nos hypothèses étaient partiellement appuyées, et les résultats ont augmenté les connaissances sur les facteurs qui contribuent à l’impact familial de l’éducation d’un enfant avec un handicap neurologique. La discussion se concentre sur l’explication des résultats dans le contexte familial, et les implications pour les familles élevant un enfant avec un handicap neurologique.» (p. viii)

1. Objectifs

Intentions :
« Après avoir identifié le locus lié à la NHSRPA [neuropathies héréditaires sensitives et autonomiques] et compris qu’il était identique à celui lié à l’ACPRP [Ataxie de la colonne postérieure avec rétinite pigmentaire], notre but fût [sic] d’identifier le gène causant la NHSRPA. Nous voulions comparer les haplotypes entre les cas des familles canadienne-française et espagnole afin de confirmer notre hypothèse de filiation et réduire l’intervalle candidat. » (p. 44-45)

Questions/Hypothèses:
« Aux 18e et 19e siècles, des centaines de Basques se sont établis au Québec et en Acadie dans des centres côtiers éloignés les uns des autres. Ces Basques, pour la majorité des hommes célibataires, ont épousé des Canadiennes françaises. Ils ont laissé une importante descendance et ils ont ainsi contribué fortement au bagage génétique de ces régions. […] Semblerait-il, suite au naufrage d’un navire dont l’équipage basque serait demeuré dans la région, que la ville de Paspébiac a conservé une empreinte marquée de la culture basque. Comme de fait, la plupart des membres de la famille atteinte de la NHSRPA possèdent des patronymes d’origine basque. Lors de la compilation des données généalogiques, nous avons identifié un ancêtre au patronyme d’origine basque-française, dont la graphie a évolué au cours du temps, venu s’établir à Paspébiac vers la fin du 18e siècle. Ces indices ont mené à l’hypothèse que la famille canadienne-française et la famille basque espagnole pourraient partager la même mutation historique qui aurait subit [sic] une migration transatlantique. » (p. 44)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« Nous avons recruté une grande famille canadienne-française originaire de Paspébiac dans la Baie-des-Chaleurs dans laquelle nous avons identifié quatre individus atteints d’une forme de neuropathie héréditaire sensitive avec rétinite pigmentaire et ataxie (NHSRPA) » (p. 16)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

« La complexité de l’étude des neuropathies héréditaires provient de leur hétérogénéité clinique et génétique et de la diversité des fibres composant les nerfs périphériques. Cette complexité se reflète dans les nombreuses classifications différentes. Les neuropathies héréditaires se classifient entre autres selon leur mode de transmission et leur atteinte sensitive, autonomique et motrice. Les neuropathies héréditaires sensitives et autonomiques (NHSA) se présentent avec une perte de la sensation distale aux membres, accompagnée d’autres manifestations selon le type de NHSA. L’étude des NHSA est facilitée lorsqu’il existe des grappes de familles originaires de régions du Québec où des effets fondateurs pour des maladies récessives ont déjà été identifiés. […] Une revue plus fine de la littérature a fait ressortir qu’une famille espagnole et une américaine de souche hollandaise souffrant de la même maladie avaient déjà été liées au même locus. L’origine possiblement basque de notre famille gaspésienne nous a poussé à comparer l’haplotype porteur avec celui de la famille espagnole qui, quoi que gitane, provient du pays basque espagnol. […] Des expériences supplémentaires sont nécessaires afin d’identifier le gène muté responsable de la NHSRPA. » (p. iii)

1. Objectifs

Intentions :
« Restless legs syndrome is one of the few common neurological disorders that exhibit significant familial aggregation. The dissection of the underlying genetic and nongenetic composition of the outstanding familial aggregation observed in RLS should be interesting to all concerned physicians, geneticists, and epidemiologists. » (p. 620)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
During 15 years, « [a] total of 249 probands and their relatives [n=892] were interrogated directly or indirectly [...] » (p. 618).

Instruments:
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

« The substantial familial clustering of restless legs syndrome (RLS) has long been recognized. However, there has been a lack of large-scale systematic family studies and of full descriptions of the clinical features of familial RLS (fRLS). A systematic family study, ie, the investigation of every family member individually instead of by family history through a proxy report, represents a more accurate approach to delineate a comprehensive clinical spectrum of the phenotypic manifestations and to estimate the relative recurrent risk ratio in relatives (ie, quantification of the familial aggregation). Currently, RLS remains a clinical diagnosis primarily based on patient self-report of subjective symptoms. Several objective measurements have been developed to confirm the RLS diagnosis. However, none of these tests has a 100% sensitivity and specificity for a definitive RLS diagnosis, and none has been systematically applied to large scale population or family studies because of the cost and impracticality of these approaches. » (p. 617)

1. Objectifs

Intentions :
« […] in this dissertation, we assessed the HPA [Hypothalamic-pituitary-adrenal] activity by analyzing the diurnal cortisol secretion in a naturalistic environment (at home, Study 1), as well as the responses to the endogenous (Awaking cortisol response, Study 2) and exogenous stimulation (laboratory-induced child-related and unrelated stressors, respectively, Study 3). Finding are described and interpreted while taking into consideration the potential influence of secondary variable that are derived from the type of infant feeding chosen by mother (namely socioeconomic indices, return of menses, ovarian estrogen secretion in the range of menstruations and, sleep disturbance). » (p. 23)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
For the first study, « [s]ixty-one women, recruited through advertisement in the newspapers of Montreal, Canada and surrounding region, participated in this study. Twenty-four women were breastfeeding, 24 women were bottlefeeding, and 13 were nonpostpartum mothers. […] Following the screening interview, they were given two sets of Salivette devices […] to collect saliva samples at home, on two non-consecutive days within the same week. » (p. 90-91) For the second study. « [s]aliva cortisol levels were measured at awakening and 30 minutes later over a two-day period (within the same week) in postpartum mothers who were exclusively bottle feeding (n=16) or breastfeeding (n=13) their infants. » (p. 125) For the third study, « [t]en nulliparous (never mothers) and 8 mothers of young children aged between 1 and 6 years old participated in this study. Participants were recruited among the staff and students based at the Research Center of the Douglas Hospital. […] They were then shown the two 5-minute films in a counterbalanced order, with a 50 minutes interval. Saliva was collected […]. Following film viewing, participants were asked to evaluate the intensity of emotional feeling perceived for each scene […] using a Likert scale from 1 (very low) to 10 (very high). » (p. 143-144)

Instruments:
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

« Il est connu que chez les rats, la réponse au stress de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) est atténuée, sauf lorsque les mères lactantes sont exposées à un stresseur écologiquement significatif en présence de leurs petits, ce qui suggère un rôle important de la pertinence du stresseur sur l’amplitude de la réponse [HHS] en période d’allaitement. En revanche, chez l’humain, alors que les femmes qui allaitent montrent une réponse HHS atténuée à un stresseur physique, aucune différence liée à la lactation n’est observée en réponse à une épreuve de discours et calculs arithmétiques (Trier Social Stress Test,TSST). La parité, ou le nombre d’enfants, peut également contribuer à augmenter l’expérience maternelle, et par conséquent, sensibiliser la mère à réagir de façon plus accrue à un stress lié à l’enfant. De plus, il semble que les concentrations de cortisol au réveil seraient plus élevées chez les femmes ayant plusieurs enfants (multiparité). […] [D]ans une première étude, nous avons mesuré l’impact de l’allaitement […] et de la parité […] sur les taux de cortisol diurne ainsi que leur stabilité à travers les jours d’échantillonnage. […] notre seconde étude consistait à vérifier l’impact de l’allaitement sur la réaction de cortisol au réveil […]. Et finalement, notre troisième étude consistait à comparer en laboratoire les effets de l’allaitement, la parité et la pertinence du stresseur chez les femmes postpartum et nonpostpartum exposés à un stresseur pertinent (film émotionnel traitant d’enfants perdus ou blessés) ou non-pertinent (TSST) au bien-être de l’enfant. » (p. 10)