Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
The aim of this study is to identify the types of issues lived by English-speaker caregivers of seniors in the province of Quebec, where they have to interact with French-speaker health care providers.

Questions/Hypothèses :
«The research question was whether a situation of language asymmetry could lead English-speaking caregivers to experience additional types of problems, and to identify what these were.» (p. 3)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
Participants were «English caregivers of English-speaking seniors living in Quebec […].» (p. 3) «In terms of the characteristics of the caregivers, all but two of the caregivers were 65 years of age or more (the two exceptions appeared to be in their late 50s and cared for someone over 65). Most of the participants cared for a spouse, although three of them cared for an older parent. All couples were heterosexual. One elderly woman cared for an older sister who was living with her (and quite advanced in age), and one woman in her 80s cared for a female friend who was in a long-term care institution. Four of the caregivers were male, and cared for their spouse.» (p. 4)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

«The majority of the caregivers interviewed indicated that they were satisfied with the interaction and/or care that physicians provided to the seniors that they were caring for, even if the physicians were not native English speakers. However, some problems were mentioned in relation to the caregivers’ interaction with physicians, and more frequently with other health care providers. Critical comments were made by caregivers who spoke about health care providers who refused or were unable to speak English, or about the lack of English skills on the part of some home or residence (long-term housing) support personnel. Some caregivers indicated anxiety about speaking to health care providers in French. Other problems identified included traveling further than French speakers in order to receive health services in their first language, needing to insist that interaction takes place in English, acting as an informal interpreter, [and many others]. The main finding is that, in comparison with French-speaking caregivers, a situation of language asymmetry may create additional problems, stresses, and frustrations in the life of an English-speaking caregiver in Quebec, who is already likely to be stressed because of their caregiver role […].» (p. 9)

1. Objectifs

Intentions :
«Cette étude vise à décrire les connaissances et les attitudes de médecins québécois vis-à-vis les PC [punitions corporelles] comme méthode disciplinaire parentale. Elle informe également sur leurs pratiques de soutien auprès des parents en lien avec ces situations et sur les facteurs associés à ces pratiques.» (p. 503)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Les données proviennent d’un sondage en ligne réalisé entre avril et novembre 2017 auprès de 1 824 professionnels québécois qui, dans le cadre de leur travail, interviennent directement au moins 20% de leur temps auprès d’enfants mineurs ou de leurs parents.» (p. 503)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

«Les médecins québécois sondés sont fortement contre le recours aux PC dans l’éducation des enfants et ils sont conscients des effets négatifs de cette pratique sur leur développement. Ces résultats concordent avec les connaissances scientifiques actuelles, qui établissent que les PC sont non seulement inefficaces, mais qu’elles entraînent des impacts négatifs sur le développement de l’enfant.» (p. 506) De plus, la «grande majorité des médecins sondés déclarent qu’ils aborderaient les situations de PC avec les parents, et ce peu importe leur sévérité. Ils sont tout aussi nombreux à déclarer les deux autres formes de soutien aux parents dans ces situations. […] Les situations impliquant un adolescent semblent, [toutefois], celles pour lesquelles les médecins sondés semblent les moins à l’aise. Cela se reflète à la fois dans leur méconnaissance de la force jugée déraisonnable lorsqu’elle est administrée à un enfant âgé de plus de 12 ans, que dans leurs pratiques de soutien auprès des parents […].» (p. 506-507) Ainsi, les «résultats obtenus soulignent l’importance des attitudes des répondants face à la PC qui expliquent les diverses pratiques de soutien. La perception des impacts de la PC sur l’enfant explique elle aussi en partie le fait d’aborder ou non cette pratique avec le parent. Ensemble, ces résultats appuient l’importance de former les médecins sur l’inadéquation de la PC et ses effets négatifs sur le développement de l’enfant.» (p. 507)