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1. Objectifs

Intentions :
«Dans la perspective d’un forum public qui explore les particularités de l’itinérance au féminin, il semblait pertinent de s’intéresser non seulement à la problématique, mais tout autant aux femmes elles-mêmes. Ces femmes en difficulté, en situation précaire ou d’itinérance et sans-abri sont au cœur de cet exposé, afin de mieux voir pour permettre de mieux agir.» (p. 29)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Aucun dénombrement à grande échelle des personnes itinérantes n’a été fait depuis l’Enquête auprès de la clientèle des ressources pour personnes itinérantes des régions de Montréal-Centre et de Québec, 1998-1999, réalisée par l’Institut de la statistique du Québec, sous la direction de Louise Fournier, et publiée en mars 2001. Ce sont toujours les données couramment véhiculées.» (p. 33) L’auteure utilise également des informations fournies par différents centres d’aide pour femmes de Montréal.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé

«L’itinérance visible fait référence aux femmes ‘qui sont hébergées dans des foyers et des abris d’urgence et celles qui vivent l’expérience difficile de dormir dans des endroits inadéquats pour les personnes, comme les parcs et les fossés, les entrées de porte, les véhicules et les édifices désaffectés’. L’itinérance cachée réfère quant à elle aux femmes qui, pour ne pas être dans la rue, persistent à demeurer dans des milieux où elles sont exposées à des conflits familiaux et à de la violence, et qui n’ont pas d’autres endroits où se réfugier. Cette définition inclut également les femmes qui vivent dans une ‘pauvreté attribuable au logement’ » (p. 30) L’auteure ajoute que «[l]es femmes en difficulté sont des personnes fragilisées, pour une raison ou une autre. Les femmes n’ayant ni famille, ni lien solide, sont très vulnérables à vivre l’itinérance.» (p. 32) Les données montrent que «la violence conjugale, sexuelle ou familiale» (p. 42) fait partie des facteurs omniprésents chez les femmes itinérantes, et que les mères monoparentales sont très à risque.

1. Objectifs

Intentions :
« [L]e présent document Paramètres organisationnels régionaux en évaluation et traitement pour les enfants et les jeunes ayant un trouble mental – Région de l’Outaouais présente des paramètres organisationnels permettant d’actualiser les orientations régionales en santé mentale afin de soutenir les Centres de santé et de services sociaux (CSSS), le Centre hospitalier Pierre-Janet (CHPJ) et leurs partenaires dans la mise en place d’une partie du continuum de services de santé mentale en mettant exclusivement l’accent sur l’évaluation et le traitement pour les enfants et les jeunes ayant un trouble mental ou en voie d’être diagnostiqués pour un trouble mental. » (p. 8)

2. Méthode

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

« L’accessibilité à une gamme diversifiée de services de 1re ligne ainsi qu’à des services spécialisés de 2e ligne en temps opportun et avec l’intensité requise constitue une difficulté majeure pour les parents ayant un enfant présentant une problématique de santé mentale, et ce, à l’échelle du Québec. Afin d’améliorer cette situation sur le plan régional, l’Agence de la santé et des services sociaux de l’Outaouais (l’Agence) a identifié avec le concours des partenaires de la santé et des services sociaux de l’Outaouais des orientations sur le plan de l’évaluation et du traitement pour les enfants et les jeunes présentant un trouble mental qui tiennent compte aussi de l’implication de la famille notamment dans le processus de décision du traitement et du suivi. Ces orientations régionales se basent sur la vision ministérielle présentée dans le Plan d’action en santé mentale 2005-2010 – la force des liens qui souligne l’importance d’assurer l’accès à des services de traitement et de soutien pour les enfants, les jeunes et les adultes de tout âge ayant un trouble mental, ainsi que pour les personnes présentant un risque suicidaire. » (p. 8) « Afin d’assurer un mieux-être aux enfants et aux jeunes ayant un trouble mental ainsi qu’à leurs parents, il s’avère pertinent d’assurer la mise en place d’une organisation hiérarchisée de services visant l’amélioration de l’accès aux services de 1re ligne où le CSSS constitue la porte d’entrée principale aux services d’évaluation et de traitement afin de réserver l’accès aux services de 2e ligne pour les situations plus complexes et nécessitant une expertise psychiatrique. » (p. 85)