Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
« The current paper examines the extent to which differences in immigrant human and social capital, perceptions of institutional receptivity, and perceptions of welcome account for the relationship between immigrant children’s mental health and place of resettlement. » (p. 822)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« The NCCYS [New Canadian Children and Youth Study] is a longitudinal study, with two age-defined inception cohorts—children fourth trough six, and children 11 through 13, all of whom were either born outside Canada or into families in which at least one parent had immigrated to Canada during the ten years preceding the study’s inception. Since almost all immigrants settle in cities (Statistics Canada, 2008), samples were recruited from the major cities in four federally defined regions: Pacific region - Vancouver, British Columbia; Prairies - Edmonton, Alberta, Calgary, Alberta, and Winnipeg Manitoba; Central - Toronto, Ontario; Eastern - Montreal, Quebec. The current report focuses on children and their families from three different immigrant groups – Hong Kong (HK) Chinese, Mainland (PRC) Chinese, and Filipino. » (p. 823)

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

Les auteurs proposent d’établir une relation entre la santé mentale des enfants issus de l’immigration et leur ville d’adoption. Les résultats indiquent que ceux qui habitent à Montréal ou à Toronto risquent d’avoir plus de problèmes émotionnels que ceux qui vivent à Winnipeg, Calgary, Edmonton ou Vancouver. Les auteurs ont constaté qu’à Montréal les difficultés rencontrées par les parents par rapport à la question linguistique seraient une cause de problèmes émotionnels chez leurs enfants. Du côté de Toronto, les problèmes émotionnels seraient entre autres causés par la marginalisation et la difficulté d’établir des réseaux sociaux comme le voisinage.