Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
«Cette étude vise à: […] décrire le niveau d’exposition à la COVID-19 des jeunes âgés de 6 à 17 ans de la province de Québec vivant en contexte de pandémie; […] dresser un portrait de leur adaptation psychosociale et de leur santé mentale; […] examiner les liens entre l’adaptation psychosociale de ces enfants en contexte de pandémie COVID-19 et certaines variables, dont des caractéristiques propres à l’enfant (âge, sexe), des variables familiales (composition familiale) et le vécu entourant la pandémie (fréquence et intensité d’exposition aux informations entourant la pandémie, durée du confinement, maladie contractée par la famille proximale ou distale) et […] étudier comment les enfants vivant au prise avec des vulnérabilités antérieures à la pandémie sur le plan de la santé mentale s’adaptent dans ce contexte de vie particulier lorsqu’on les compare à des jeunes sans vulnérabilité.» (p. 82)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Le recrutement a eu lieu entre le 1er et le 27 mai 2020, alors que la population québécoise, à l’exception des travailleurs essentiels, devait demeurer en confinement à domicile depuis 7 à 10 semaines. L’échantillon final est composé de 237 jeunes âgés de 6 à 17 ans vivant dans la province de Québec, Canada […].» (p. 82)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

«En contexte de pandémie, les deux tiers de l’échantillon québécois de cette étude ne vivent pas de difficultés globales d’adaptation, ni de problème de santé mentale à l’échelle globale du ASEBA-CBCL [Achenbach System of Empirically Based Assessment-Children Behavior Checklist]. […] Plusieurs hypothèses sont évoquées pour expliquer ces résultats encourageants [telle que] la capacité de résilience de certaines familles touchées de près ou de loin par la pandémie. [Il y a] aussi le bienfait du temps passé en famille et des activités [que les membres de la famille] n’ont pas le temps de faire habituellement (p. ex. marcher, faire du vélo et réaliser les devoirs à la maison). […] Les parents dans ce contexte sont perçus comme une source de soutien et de réconfort pour leurs enfants (Perrin et al., 2016). […] À tout cela s’ajoute le fait de vivre la catastrophe en famille, considéré comme un facteur protecteur comparativement aux personnes qui la vivent seule.» (p. 86-87) Toutefois, bien «que la majorité des enfants présente un fonctionnement adaptatif normatif à l’échelle globale, les deux tiers de l’échantillon (66,5%) présente au moins un résultat à risque ou cliniquement significatif aux échelles de comportement intériorisés, extériorisés ou à une sous-échelle, révélant la présence de symptômes suffisamment nombreux pour témoigner de difficultés d’adaptation. Chez près d’un tiers des jeunes de l’échantillon, des comportements intériorisés (33,3 %) et/ou extériorisés (31,7 %) sont présents.» (p. 87)

1. Objectifs

Intentions :
« Cette étude vise à faire le point sur l’emploi de la contraception et sur les différents types de méthode utilisées en 1995. Divisée en trois étapes, elle permet d’abord de savoir quels facteurs influencent le plus l’utilisation de la contraception. Par la suite, on identifie les facteurs responsables du choix entre les méthodes réversibles et irréversibles et enfin, on détermine ce qui influe sur la décision de se servir d’une méthode réversible ou l’autre. Des régressions logistiques permettent de vérifier que tous les facteurs qu’on croît [sic] influencer ces différentes étapes de la contraception sont bien significatifs. » (p. iii)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« Les données proviennent de l’Enquête Sociale Générale, cycle 10 sur la famille et les amis de Statistiques Canada qui a eu lieu en 1995. » (p. 28)

Instruments :
Questionnaire d’enquête

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

« Le but de cette recherche fut de faire le point sur la contraception au Québec en 1995. Par la comparaison des comportements des hommes et des femmes, on a identifié les différents facteurs démographiques, socio-économiques et culturels qui influencent l’utilisation de la contraception ou le choix d’une méthode. Ces résultats ont permis de tirer un portrait des utilisateurs de contraception et de répondre à certaines interrogations. On a d’abord cherché à savoir quels facteurs ont influé sur l’utilisation de la contraception. Puis, on a déterminé ce qui a influencé le choix d’employer une méthode réversible ou une méthode irréversible. On a par la suite repris ces trois étapes et on a exécuté des régressions logistiques afin de vérifier si les facteurs que l’on a identifiés ont réellement influencé la contraception. » (p. 107)