Proposition d’utilisation du psychodrame de groupe avec des enfants de 8 à 12 ans en suivi thérapeutique dans l’équipe de santé mentale jeunesse de 1re ligne en CLSC
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Référence bibliographique [10219]
Rosay, Annick. 2011. «Proposition d’utilisation du psychodrame de groupe avec des enfants de 8 à 12 ans en suivi thérapeutique dans l’équipe de santé mentale jeunesse de 1re ligne en CLSC». Thèse de doctorat, Trois-Rivières (Québec), Université du Québec à Trois-Rivières, Département de psychologie.
Intentions : «Cet essai a pour but de mieux comprendre le psychodrame de groupe chez l’enfant et d’en faire une proposition d’intervention pour l’équipe Santé Mentale Jeunesse (SMJ) de 1re ligne du CSSS Champlain (Montérégie), soit en CLSC.» (p. iii)
Questions/Hypothèses : «Le psychodrame de groupe pourrait-il soulager ces enfants qui souffrent de troubles intériorisés (ex.: troubles anxieux et de l’humeur) et extériorisés (ex.: TDAH et comportements perturbateurs) et qui tentent de poursuivre leur développement normal malgré leur souffrance?» (p. 39)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’auteure utilise de données documentaires diverses.
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«En premier lieu, cette étude vise à présenter le contexte dans lequel cette proposition d’intervention pourrait s’inscrire. Pour ce faire, nous présentons le fonctionnement de l’équipe SMJ ainsi que la nature de la clientèle traitée. Ensuite, dans le chapitre II et III, l’essai porte sur les éléments généraux de l’approche psychodramatique de groupe et ceux spécifiques au psychodrame pratiqué avec les enfants d’âge scolaire. L’essai expose comment le psychodrame de groupe, une forme d’intervention inédite jusqu’à ce jour dans la gamme de services thérapeutiques de l’équipe SMJ du CSSS Champlain, peut profiter à sa clientèle d’enfants de 8 à 12 ans. Au chapitre IV, une proposition concrète d’implantation possible du psychodrame de groupe auprès de cette clientèle est formulée. Des illustrations cliniques, inspirées de cas rencontrés dans le cadre de la pratique de l’auteure à titre de psychologue au sein de l’équipe SMJ du CSSS Champlain, démontrent comment l’on peut recourir à cette méthode de groupe afin d’en tirer des bénéfices thérapeutiques.» (p. iii) À noter que la clientèle ciblée par le modèle d’intervention proposée est constituée de jeunes avec certaines difficultés en santé mentale. L’auteure évoque des facteurs familiaux (violence conjugale, milieu familial défavorisé, etc.) pour expliquer et tenter de mieux comprendre ces difficultés. L’auteure souligne aussi l’importance de travailler avec la famille afin d’améliorer les résultats du traitement proposé.