Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
«Il importe dans un premier temps de rappeler les objectifs tels que décrits dans le mandat élaboré par le conseil d’administration de l’Agence et qui sont à la base du plan d’action 2013-2015:
- améliorer l’offre de service, les besoins de la clientèle et la configuration du réseau montréalais de la santé et des services sociaux qui repose sur deux grands principes, soit l’approche populationnelle et la hiérarchisation des services, vus sous l’angle de l’accessibilité universelle;
- développer une vision commune de certaines notions, notamment celles concernant les services spécialisés de réadaptation, de santé physique, de gestion des aides techniques et de la politique de soins à domicile;
- améliorer l’atteinte des objectifs du plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience;
- renforcer les liens de collaboration intersectoriels avec les partenaires qui représentent cette clientèle;
- et enfin, déterminer des moyens concrets pour mieux supporter les familles, les proches et les intervenants.» (p. 10)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
Le présent rapport est basé sur «les données de l’enquête sur la participation et les limitations d’activités (EPLA, 2010).» (p. 11)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

«Une des lignes directrices des ‘Orientations ministérielles 2004-2009 en déficience physique’ concerne la nécessité d’apporter aux familles et aux proches le soutien nécessaire. […] Le niveau de soutien actuel fourni par les CSSS ne répond pas entièrement aux besoins et aux attentes des familles. Certains d’entre eux réduisent ou plafonnent l’aide financière attribuée à une personne, et ce, afin d’aider le plus grand nombre de familles possible. Cette situation affecte la portée réelle de ces interventions et requiert du proche aidant d’assumer une partie importante des services requis. Le maintien à domicile d’une personne qui présente un handicap moteur sévère nécessite un soutien à la personne et aux proches aidants afin d’éviter l’épuisement, la détresse et l’isolement. L’objectif demeure d’éviter de recourir, faute de services insuffisants à domicile, à un hébergement non adapté aux besoins. Le manque d’information sur la condition de l’aidé et son évolution, les ressources, programmes et autres aides disponibles font aussi partie de la problématique.» (p. 18)

1. Objectifs

Intentions :
Ce document présente les résultats des recherches du sous-comité régional « Jeunes hébergés en centres jeunesse et présentant des problèmes de santé mentale », créé après la publication du Plan d’action ministériel en santé mentale 2005-2010. « Celui-ci est chargé d’émettre des recommandations au regard des services de santé mentale destinés aux jeunes hébergés en CJ [Centre jeunesse] pour lesquels on identifie des problèmes de santé mentale. » (p. 1)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
Le Plan d’action s’appuie sur les quatre documents suivants : Plan d’action ministériel en santé mentale 2005-2010, La force des liens; Proposition d’orientations relatives aux services de réadaptation pour les jeunes présentant, outre des problèmes de comportement ou un besoin de protection, des troubles mentaux et qui sont hébergés dans les ressources des CJ du Québec; Orientations relatives aux standards d’accès, de continuité, de qualité, d’efficacité et d’efficience, Programme-services jeunes en difficulté, Offre de service 2007-2012 et Guide de partenariat Centres de santé et de services sociaux - Centres jeunesse.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé

« Les membres du sous-comité ont été soucieux […] de définir leurs recommandations en prenant en compte la réalité de ces jeunes et de leurs familles qui sont aux prises avec des situations difficiles tant au plan psychologique que social. Dans cette perspective, ils ont fait consensus sur la nécessité d’assurer des services intégrés de qualité et sur l’importance d’intervenir rapidement auprès de ces jeunes et ce, afin d’éviter une détérioration de leurs conditions de vie et le recours à des services encore plus lourds. […] La section la plus importante de ce rapport fait état des recommandations du sous-comité de travail. Elle est composée de deux rubriques qui permettent de faire le parallèle entre les recommandations du MSSS et celle du sous-comité régional et ce, pour chacun des thèmes abordés : dépistage et évaluation, suivi des jeunes, transferts interétablissements, mécanismes de liaison, parachèvement des équipes multidisciplinaires en santé mentale des CJ, arrimage des services en santé mentale dispensés aux enfants et aux adultes, formation des intervenants, traitement individualisé et ressources spécialisées. » (p. 2) Les recommandations prennent en considération les besoins des jeunes comme ceux de leurs parents lors des interventions.