Résultats de recherche

1. Objectifs

Intentions :
«Le présent ENM en bref [Enquête nationale auprès des ménages] examine la population selon le statut des générations, plus particulièrement les personnes de deuxième génération, c’est-à-dire celles qui sont nées au Canada et dont l’un des parents ou les deux sont nés à l’extérieur du Canada.» (p. 3)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Environ 4,5 millions de ménages à travers le pays ont été sélectionnés pour l’ENM et représentaient environ un tiers de tous les ménages.» (p. 3)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

«La deuxième génération désigne les personnes qui sont nées au Canada et dont au moins l’un des parents est né à l’extérieur du Canada. En 2011, ce groupe était composé d’un peu plus de 5 702 700 personnes, représentant 17,4% de la population totale. Dans le cas d’un peu plus de la moitié (54,8%) d’entre elles, les deux parents sont nés à l’extérieur du Canada. […] Au Québec, les personnes de deuxième génération composaient 8,9 % de la population.» (p. 4) La présente enquête canadienne révèle que «Toronto, Vancouver et Montréal ont accueilli presque la moitié (47,1 %) de la population de deuxième génération du Canada.» (p. 5) «Le profil d’âge de la deuxième génération variait considérablement d’un bout à l’autre du pays, reflétant les endroits où les différentes vagues d’immigrants se sont établies au fil du temps. C’est au Québec et en Ontario que se trouvaient les plus jeunes populations de deuxième génération, les âges médians étant respectivement de 22,7 ans et 29,7 ans. Dans ces provinces, la plupart des personnes de deuxième génération sont des enfants nés au Canada de récentes cohortes d’immigrants.» (p. 6)

1. Objectifs

Intentions :
This «[…] study examines the characteristics of mixed union couples in Canada [...].» (p. 70)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
The authors use the «[...] data primarily from the 2006 Census of Population [...].» (p. 70)

Instruments :
Sondage

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

«According to census data, the number of couples in mixed unions has been on the rise in Canada since at least the early 1990s [...] Japanese were most likely to form a relationship outside their group, while this was least likely for South Asians. [...] Compared to persons in couples who were not in mixed unions, persons in mixed unions were younger, did better socioeconomically and were more likely to live in large CMAs [census metropolitan areas]. For the visible minority population, there were more spouses or partners in mixed unions who were Canadian-born compared to those who were foreign-born, and the proportion increased with generation status. There were proportionally more couples in common-law relationships in mixed unions than couples who were legally married, and a higher proportion of same-sex couples were in mixed unions than couples who were in opposite-sex couples. More couples with at least one child present in the home were mixed compared to couples who did not have children, reflecting the fact that mixed union couples were generally younger and more likely to be at their life-cycle stage of having young children. In addition to the number of children whose parents were in mixed unions, the concept of mixed families, like those comprised of a child belonging to a visible minority but not the parents, further broadens the implications of ethno-cultural identity.» (p. 79-80) Note that this study shows data for many cities in Quebec.