Famili@ - Base documentaire des recherches sur les familles du Québec

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http://familia.ucs.inrs.ca/notice/?ID=7661

Diagnostic prénatal, le vécu et le choix des françaises et des québécoises

Grenier, Yvette.

Article 1996

Mots-clés : avortement (107) diagnostic (55) France-Québec (124) grossesse (618) trisomie 21 | syndrome de Down (27)

Diagnostic prénatal, le vécu et le choix des françaises et des québécoises

Référence bibliographique ^[7661]

Grenier, Yvette. 1996. «Diagnostic prénatal, le vécu et le choix des françaises et des québécoises ». Frontières, vol. 9, no 2, p. 35-40.

Fiche synthèse

1. Objectifs

Intentions :
Conparer le vécu et le choix des françaises et des québécoises par rapport au diagnostic prénatal.

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« Elle a interrogé 246 personnes (184 femmes et 62 hommes) en France (Val-de-Marnes) et au Québec (Montérégie): parents d’enfants trisomiques et femmes ayant eu recours à l’amniocentèse pour recherche de trisomie 21. [...] Ces personnes de tous âges appartenaient à tous les milieux sociaux, culturels et religieux. » (p. 36)

Instruments :
Entrevue et questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

Aujourd’hui, plusieurs techniques permettent de dépister des malformations foetales en cours de grossesse. Comme aucune thérapie prénatale n’existe pour traiter ces anomalies, le simple dépistage engage les parents et le médecin dans la voie de l’avortement, que l’on qualifie, souvent à tort, d’interruption thérapeutique de grossesse. [...] Pour éviter toute confusion, il apparaît nécessaire en première partie de cet article, de faire un bref rappel sémantique pour montrer que l’avortement provoqué, qui est aussi qualifié de ’thérapeutique’, est souvent inadéquat, voire abusif. À cela viendra se greffer en deuxième partie le témoignage d’un certain nombre de Françaises et de Québécoises, qui ont eu la possibilité ou non de recourir au diagnostic prénatal. Enfin, il apparaît nécessaire en troisième partie de souligner l’importance d’une bonne relation d’aide après une interruption de grossesse décidée à la suite du diagnostic d’un foetus atteint de malformations. » (p. 34)

Mots-clés

avortement (107) diagnostic (55) France-Québec (124) grossesse (618) trisomie 21 | syndrome de Down (27)

http://familia.ucs.inrs.ca/notice/?ID=7636

Les abus physiques graves chez les enfants : un appel à la vigilance

Labbé, Jean.

Article 1996

Mots-clés : abus (189) diagnostic (55) discours (80) enfant (3591) médecine (48) parent | parents (2431)

Les abus physiques graves chez les enfants : un appel à la vigilance

Référence bibliographique ^[7636]

Labbé, Jean. 1996. «Les abus physiques graves chez les enfants : un appel à la vigilance ». Le Clinicien, vol. 11, no 9, p. 49-75.

Fiche synthèse

1. Objectifs

Intentions :
- Présenter les principaux indicateurs d’un abus physique chez un enfant;
- Proposer certaines pistes pour le diagnostic d’abus physique chez les jeunes enfants;
- Décrire en quoi consisterait une évaluation médicale dans de tels cas.

Questions/Hypothèses :
« Quand suspecter un abus grave chez un enfant? Comment en faire le diagnostic? Quelles sont les implication médicolégales? Quelle attitude adopter envers les parents? Que faire si l’enfant meurt? L’objectif de ce texte est d’apporter des réponses à ces questions. » (p. 49)

2. Méthode

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé

« La majorité des abus physiques envers les enfants sont relativement mineurs. Il existe toutefois un sous-groupe d’enfants chez qui des abus physiques graves peuvent conduire à des séquelles physiques importantes, voire à des décès. Comme ces abus physiques graves peuvent facilement passer pour des accidents, le médecin doit être particulièrement vigilant dans tous les cas de lésions traumatiques majeures, surtout chez de jeunes enfants. » (p. 49)

Mots-clés

abus (189) diagnostic (55) discours (80) enfant (3591) médecine (48) parent | parents (2431)

http://familia.ucs.inrs.ca/notice/?ID=7762

Les conditions propices à l’annonce du diagnostic du handicap de l’enfant aux parents

Bois, Caroline.

Thèse 1996

Mots-clés : diagnostic (55) enfant (3591) handicap (273) information (45) naissance (319) parent | parents (2431) soutien (847)

Les conditions propices à l’annonce du diagnostic du handicap de l’enfant aux parents

Référence bibliographique ^[7762]

Bois, Caroline. 1996. «Les conditions propices à l’annonce du diagnostic du handicap de l’enfant aux parents». Mémoire de maîtrise, Sainte-Foy, Québec, Université Laval, Département de psychologie.

Fiche synthèse

1. Objectifs

Intentions :
Tenter d’élaborer des conditions propices à l’annonce du diagnostic du handicap de l’enfant aux parents.

2.Méthode

Échantillon/Matériau :
151 parents répartis en trois groupes selon l’état de santé de l’enfant à la naissance. Groupe témoin (n=51), parents dont l’enfant souffrait du syndrome de la trisomie 21 ( n=52) parents dont l’enfant souffrait d’autisme (n=48).

Instruments :
- petites histoires appelées vignettes, à propos desquelles les répondants donnaient leur opinion;
- questionnaire papier-crayon.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

L’objectif de ce mémoire est d’identifier les préférences des parents à l’égard des conditions propices à l’annonce du diagnostic du handicap de l’enfant aux parents. 151 parents de la population générale, ayant un enfant autiste ou un enfant porteur de trisomie 21 ont complété un questionnaire papier-crayon. Placés dans une situation fictive à l’aide d’une vignette, les parents ont exprimé leurs préférences sur l’environnement humain, l’information, le soutien, la personne la plus compétente pour les informer et les soutenir lors de deux annonces médicales. La première annonce informe les parents de signes physiques inquiétants chez l’enfant nécessitant une investigation plus poussée et la seconde annonce stipule un diagnostic final. Les résultats du premier article indiquent les préférences des parents à l’égard du degré de spécificité et de la quantité de l’information est fonction de leur expérience de vie et de la situation médicale. Il semble inadéquat d’offrir exclusivement de l’information très spécifique sur la condition médicale de l’enfant. Les parents souhaitent avoir accès aussi à de l’information d’ordre plus général. En comparaison avec les parents de la population générale, les parents d’enfant handicapé semblent plus sensibles à l’incertitude de la situation médicale et conséquemment expriment des préférences plus réalistes. Les parents qui souhaitent recevoir peu d’informations lors de la première annonce sont plus susceptibles d’en désirer davantage lors de la seconde, et ce, surtout s’il s’est écoulé un long délai entre les deux annonces. La grande majorité des parents désirent être informés en compagnie de leur conjoint et préfèrent être informés par le pédiâtre. Le deuxième article porte sur les trois formes de soutien offert aux parents par les professionnels de la santé. Il identifie des gestes de soutien appréciés par l’ensemble des parents indépendamment de leur expérience de vie et de la situation médicale. Pour les deux annonces, la résolution de problème et le soutien émotionnel sont préférés à l’évitement. Ces résultats sont discutés à partir d’une perspective clinique afin de dégager des stratégies d’intervention et améliorer les procédures d’annonces aux parents.

Mots-clés

diagnostic (55) enfant (3591) handicap (273) information (45) naissance (319) parent | parents (2431) soutien (847)

http://familia.ucs.inrs.ca/notice/?ID=7935

Diagnostic prénatal et représentation du handicap chez les médecins en France et au Québec

Kremp, Odile, Bouchard, Louise, Renaud, Marc, Trugeon, Alain, Christian, Lahoute et Risbourg, Bernard.

Article 1995

Mots-clés : diagnostic (55) France-Québec (124) grossesse (618) handicap (273) médecin (40)

Diagnostic prénatal et représentation du handicap chez les médecins en France et au Québec

Référence bibliographique ^[7935]

Kremp, Odile, Bouchard, Louise, Renaud, Marc, Trugeon, Alain, Christian, Lahoute et Risbourg, Bernard. 1995. «Diagnostic prénatal et représentation du handicap chez les médecins en France et au Québec ». Archives of Public Health, no 53, p. 419-441.

Fiche synthèse

1. Objectifs

Intentions :
Comparer, selon plusieurs perspectives, des médecins français à des médecins québécois dans le diagnostic prénatal.
Questions/Hypothèses :
« Comment se situent les médecins dans ces nouvelles perspectives, qu’ils soient acteurs ou demandeurs de DPN, en fonction de leurs connaissances, des techniques, de situations particulières (pronostic vital à court ou long terme, importance du handicap prévisible... )? Quelle est l’influence sur leur représentation du handicap de différentes variables : spécialité, pays d’exercice, variables psychosociales, culturelles et organisationnelles? » (p. 421)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« L’enquête a finalement porté sur un échantillon de 1 193 médecins québécois (998 francophones et 195 anglophones) et de 1 473 médecins français. » (p. 422)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

« Pour explorer leurs attitudes face au diagnostic prénatal, nous avons réalisé une enquête en 1990 par questionnaire postal auprès de 2 700 médecins concernés (médecins généralistes, gynécologues obstétriciens, pédiatres, radiologues) dans le Nord de la France et au Québec. Le taux de réponse a été de 60 %. La possibilité de diagnostiquer des maladies in utero et d’empêcher de naître les foetus qui en sont atteints oblige à définir mieux les notions de handicap et de compatibilité avec la vie. L’utilisation de la classification de Wood pour décrire les différentes anomalies accessibles au diagnostic prénatal nous permet, de discuter pourquoi le seuil de tolérance des handicaps est différent pour les médecins, les familles, la société, fonction du vécu individuel et collectif. En dehors du contexte socioculturel, l’acceptation du handicap par les médecins dépend surtout de leur spécialité, qui conditionne la connaissance qu’ils en ont, et leur perception de la gravité. Il existe une forte corrélation entre la perception de la gravité et l’acceptation de l’interruption de [sic] médicale de grossesse en fonction de la spécialité (r= 0,77, P = 0,02) : les radiologues sont ceux qui trouvent toutes les maladies plus graves et sont les plus acceptants de l’interruption de grossesse, s’opposant complètement aux pédiatres; les médecins généralistes et les gynécologues obstétriciens ont une position intermédiaire. Le handicap ne peut être réduit à la déficience dont on sait faire le diagnostic, et la réalisation du diagnostic prénatal demande donc une collaboration pluridisciplinaire. » (pp. 438-439)

Mots-clés

diagnostic (55) France-Québec (124) grossesse (618) handicap (273) médecin (40)

http://familia.ucs.inrs.ca/notice/?ID=8305

Les médecins canadiens devant le diagnostic prénatal : prudence et ambivalence

Renaud, Marc, Bouchard, Louise, Bisson, Jocelyn, Labadie, Jean-François, Dallaire, Louis et Kishchuk, Natalie.

Chapitre 1993

Mots-clés : Canada-Québec (863) diagnostic (55) grossesse (618) médecin (40)

Les médecins canadiens devant le diagnostic prénatal : prudence et ambivalence

Référence bibliographique ^[8305]

Renaud, Marc, Bouchard, Louise, Bisson, Jocelyn, Labadie, Jean-François, Dallaire, Louis et Kishchuk, Natalie. 1993. «Les médecins canadiens devant le diagnostic prénatal : prudence et ambivalence». Dans Pratique actuelle de diagnostic prénatal au Canada , sous la dir. de Canada. Commission royale sur les nouvelles techniques de reproduction, p. 260-443. Ottawa: Gouvernement du Canada, Commission royale sur les nouvelles techniques de reproduction.

Fiche synthèse

1. Objectifs

Intentions :
Présenter les résultats d’une enquête pancanadienne sur le diagnostic prénatal (DPN), qui a été menée auprès d’une population de médecin.

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
3 072 médecins du Canada

Instruments :
Questionnaire
Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

« La présente enquête porte sur les médecins canadiens susceptibles de diriger leurs patientes vers le diagnostic prénatal (DPN), c’est-à-dire la population des obstétriciens et obstétriciennes, des pédiatres et des radiologues faisant plus de 100 échographies obstétricales par année, de même qu’un échantillon stratifié des généralistes faisant plus de cinq accouchements par année. L’enquête a eu lieu de novembre 1989 à janvier 1990 pour le Québec, et d’octobre 1991 à janvier 1992 pour le reste du Canada. Dans l’ensemble du Canada, 3 072 médecins ont retourné le questionnaire dûment rempli, ce qui constitue un taux de réponse de 52 %. Les répondants et répondantes sont représentatifs de la population visée dans chacune des provinces canadiennes, pour chacune des spécialités médicales et pour chacune des langues officielles du pays. Les provinces de l’Atlantique d’une part, les Territoires du Nord-Ouest, le Yukon et la Colombie-Britannique d’autre part, ont été regroupés pour l’analyse des données. » (p. 259)

Mots-clés

Canada-Québec (863) diagnostic (55) grossesse (618) médecin (40)

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