Analyse comparative des conceptions de l’enfant et des institutions de l’adoption dans le monde arabo-musulman et en Occident : une réconciliation est-elle possible?

Analyse comparative des conceptions de l’enfant et des institutions de l’adoption dans le monde arabo-musulman et en Occident : une réconciliation est-elle possible?

Analyse comparative des conceptions de l’enfant et des institutions de l’adoption dans le monde arabo-musulman et en Occident : une réconciliation est-elle possible?

Analyse comparative des conceptions de l’enfant et des institutions de l’adoption dans le monde arabo-musulman et en Occident : une réconciliation est-elle possible?s

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Référence bibliographique [9970]

Tugault-Lafleur, Jeanne. 2011. «Analyse comparative des conceptions de l’enfant et des institutions de l’adoption dans le monde arabo-musulman et en Occident : une réconciliation est-elle possible?». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Faculté de droit.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce mémoire traite du droit de l’adoption dans une perspective comparative entre régimes arabo-musulman, français et québécois.» (p. i)

Questions/Hypothèses :
«D’emblée, notre hypothèse de départ est que la conciliation des normes semble difficile tant les concepts propres à chaque système sont différents.» (p. 3)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’auteure utilise des textes de Loi et de droit provenant du Québec, de la France et des pays musulmans.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Dans ce mémoire, l’auteure aborde «[d]ans un premier temps […] la place de l’enfant dans l’Islam: de sa conception au sein de la famille musulmane à l’ensemble de ses droits selon le droit religieux. Ce tour d’horizon permet d’aborder l’épineux problème de l’interdiction de l’adoption par le Coran et les alternatives qui ont été développées pour y remédier, plus particulièrement la kafala. La kafala sera expliquée et située dans l’ordre public international, puis examinée au regard de quatre législations arabes: le Maroc, la Tunisie, l’Algérie et le Liban. Dans un deuxième temps, la question sera examinée d’un point de vue occidental. Il y sera analysé la possibilité et les difficultés entourant l’application des règles musulmanes de statut personnel en France et au Québec. Finalement sera abordé l’accueil que ces deux sociétés ont réservé à la kafala dans leur système respectif.» (p. i)