Anoxie néo-natale et carence affective : facteurs influençant le devenir à long terme

Anoxie néo-natale et carence affective : facteurs influençant le devenir à long terme

Anoxie néo-natale et carence affective : facteurs influençant le devenir à long terme

Anoxie néo-natale et carence affective : facteurs influençant le devenir à long termes

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Référence bibliographique [9934]

Gauthier, Yvon. 1980. «Anoxie néo-natale et carence affective : facteurs influençant le devenir à long terme». Dans L’enfant. Explorations récentes en psychologie du développement , sous la dir. de Jean-François Saucier, p. 69-83. Montréal: Les presses de l’Université de Montréal.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce texte veut démontrer que, trop souvent, les théories du développement de l’enfant auxquelles nous adhérons ou que nous utilisons quotidiennement tombent dans le piège de l’univocité et de la linéarité, aussi bien dans le domaine des facteurs organiques que des facteurs de l’environnement.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Démontrer que trop souvent les théories du développement de l’enfant auxquelles nous adhérons ou que nous utilisons quotidiennement tombent dans ce piège de l’univocité et de la linéarité, aussi bien dans le domaine des facteurs organiques que des facteurs de l’environnement. [...] Il est un domaine spécifique où nous avons eu beaucoup tendance à attribuer à un facteur étiologique une influence majeure et sur un mode linéaire: c’est celui des dommages cérébraux que l’enfant peut subir dans toute la période périnatale. » L’auteur affirme donc que « C’est à travers les travaux de quelques chercheurs que nous ne pouvons plus, dans le contexte actuel de nos connaissances, en rester à des schémas de compréhension linéaire/univoque, simplificatrice. [...] [Pour l’auteur], il s’agit de redécouvrir encore une fois la complexité des facteurs qui jouent constamment dans le développement de l’enfant, de considérer à la fois tempérament, attitudes parentales, expériences précoces ou plus tardives [...] et de voir que l’enfant, même né dans des conditions physiques déplorables, peut s’en sortir, de lui-même et/ou surtout s’il a un milieu familial qui supporte son handicap. »