Les familles d’accueil pour déficients mentaux à Baie-St-Paul

Les familles d’accueil pour déficients mentaux à Baie-St-Paul

Les familles d’accueil pour déficients mentaux à Baie-St-Paul

Les familles d’accueil pour déficients mentaux à Baie-St-Pauls

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Référence bibliographique [9247]

Bouchard, Carolle. 1988. «Les familles d’accueil pour déficients mentaux à Baie-St-Paul». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Faculté des sciences sociales.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Vérifier si le placement en familles d’accueil à Baie-St-Paul arrive ou non à corroborer les conclusions soutenues par les analyses de Murphy et de ses collaborateurs, concernant ce programme dans sa dimension canadienne »

Questions/Hypothèses :
Les familles qui gardent les déficients mentaux ont-elles personnellement conscience de leurs aptitudes, ou de leur inaptitude, pour aider à réaliser l’insertion sociale de ce type de patient? « Jusqu’à quel point ces derniers sont-ils perçus comme une perturbation concrète de la vie des responsables, tant familiale que sociale? »

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
- 30 familles d’accueil de Baie-St-Paul, actives au niveau de la garde de déficients mentaux;
- Autorités concernées de près ou de loin par le programme.

Instrument :
- Entrevues semi-dirigées avec les responsables de famille d’accueil;
- Entrevues dirigées avec les autorités.

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Une fois relaté l’historique de la désinstitutionnalisation à Baie-St-Paul, rappelée l’identification générale du déficient sorti de l’institution et celle des différentes ressources disponibles, dans l’endroit, pour l’intégration sociale de ce dernier, nous surgissons sur l’analyse de la principale des ressources, laquelle constitue d’ailleurs le coeur de notre étude, celle des familles d’accueil. Nous procédons d’abord au tracé de leur profil, nous ferons ensuite l’analyse de leur typologie et de leur fonctionnement, dans ce contexte socio-économique spécifique de l’endroit, pour conclure sur la pertinence de notre hypothèse initiale, à savoir : que le placement en famille de ces bénéficiaires ne ferait que redessiner autour d’eux l’équivalent de l’institution. »