1. Objectifs

Intentions :
Éclaircir quelques raisons pour lesquelles la question, à savoir jusqu’à quel point nous sommes une société qui répond aux besoins humanitaires des personnes, se posera de plus en plus fréquemment et avec de plus en plus d’insistance au cours des années à venir.

2. Méthode

Echantillon/Matériau :
Données de l’Enquête sociale générale de 1985

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

On constate que les réseaux potentiels d’aide sont formés soit des parents, soit des amis intimes, comme des groupes familiaux ou quasi-familiaux. La recherche démontre comment la structure des liens de famille et d’amitié d’une personne peut varier systématiquement durant sa vie. La majorité des Canadiens avaient à leur disposition d’importants groupes de soutien potentiels formés de parents et d’amis intimes. En fait, le sexe est un facteur important dans la prédiction du genre de groupe de soutien potentiel sur lequel la personne pourra compter. Dans la plupart des cas, les personnes que nous pensons être les principales bénéficiaires d’aide apportent elles-mêmes de l’aide à d’autres dans le cadre de réseaux sociaux non officiels. Les personnes âgées, par exemple, participent beaucoup au travail bénévole. L’impact des ressources non officielles (familles et parents plus que amis et voisins) est donc beaucoup plus grand que celui des ressources officielles.