Étude comparative des effets de l’inceste prépubère chez des jeunes filles entre 8 et 14 ans, issues de famille à problèmes multiples, avec un groupe contrôle : perspective psycho-sociale

Étude comparative des effets de l’inceste prépubère chez des jeunes filles entre 8 et 14 ans, issues de famille à problèmes multiples, avec un groupe contrôle : perspective psycho-sociale

Étude comparative des effets de l’inceste prépubère chez des jeunes filles entre 8 et 14 ans, issues de famille à problèmes multiples, avec un groupe contrôle : perspective psycho-sociale

Étude comparative des effets de l’inceste prépubère chez des jeunes filles entre 8 et 14 ans, issues de famille à problèmes multiples, avec un groupe contrôle : perspective psycho-sociales

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Référence bibliographique [9205]

Hotte, Jean-Pierre. 1988. «Étude comparative des effets de l’inceste prépubère chez des jeunes filles entre 8 et 14 ans, issues de famille à problèmes multiples, avec un groupe contrôle : perspective psycho-sociale». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, Département de psychologie.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Questions/Hypothèses :
« Elle émet d’abord l’idée que les ouvrages concluant l’absence de conséquences psychologiques associées à l’inceste utilisent des mesures psychopathologiques trop globales. Conséquemment, la seconde hypothèse suppose que des zones spécifiques de la personnalité sont touchées chez la fille. » (résumé)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
28 enfants de 8 à 14 ans ayant vécu l’inceste et 29 enfants n’ayant pas vécu cette expérience

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Concernant l’inceste, la littérature soulève deux controverses principales. L’une porte sur la présence ou l’absence de conséquences psychologiques associées à l’inceste, l’autre s’interroge à savoir si les conséquences observées découlent de l’inceste ou d’un milieu familial perturbé. [...] Chaque enfant a été rencontré lors d’une entrevue semi-structurée et les intervenants du milieu ont rempli des questionnaires les concernant. Les données ont été recueillies principalement à partir des textes de Harter et Pike (1984), de Piers-Harris (1984) et de Achenbach et Edelbrock (1984). Ceux-ci mesurent l’estime de soi, les compétences reliées à l’adaptation, ainsi que des indices psychopathologiques. L’étude conclut que le vécu incestueux laisse des séquelles psychologiques spécifiques au niveau des quatre zones déjà mentionnées et non pas seulement au niveau global de la personnalité. »(résumé)