La perception que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants dans les familles reconstituées

La perception que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants dans les familles reconstituées

La perception que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants dans les familles reconstituées

La perception que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants dans les familles reconstituéess

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Référence bibliographique [9114]

Boyer, Isabelle. 1989. «La perception que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants dans les familles reconstituées». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
1) Explorer la perception que les beaux-parents ont de leur rôle à l’égard des enfants.
2) Explorer les attentes que les beaux-parents ont de leur rôle auprès des enfants.
3) Explorer comment les beaux-parents s’impliquent au niveau budgétaire et dans les tâches éducatives et ménagères.
4) Explorer les moyens que prennent les beaux-parents pour faire face aux difficultés rencontrées dans l’exercice de leur rôle et pour que leur situation soit satisfaisante.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
8 beaux-parents (4 belles-mères et 4 beaux-pères)

Instruments :
- Questionnaire inspiré du questionnaire de Brown (1984)
- Entrevue semi-structurée

Type de traitement des données :
Analyse de contenu, analyse descriptive

3. Résumé


Cette étude cherche à explorer quelle est la perception que les beaux-parents ont de leur rôle à l’égard des enfants. Les principaux résultats de cette recherche démontrent que leur perception semble varier d’abord en fonction de l’âge des enfants. En effet, les beaux-parents qui habitent avec des enfants de moins de douze ans semblent se percevoir davantage comme des parents. Deuxièmement, les belles-mères semblent en général avoir des attentes plus élevées par rapport aux enfants. Les principales sources de satisfaction semblent être directement reliées au jeune âge des enfants, au fait de vivre une garde partagée et au support mutuel entre le parent et le beau-parent. Enfin, les sources de difficultés majeures ont trait au fait de vivre avec des adolescents et d’avoir toutes les tâches d’un parent sans le côté affectif.