Les allocations pour les enfants et la politique des naissances au Québec : principes directeurs et propositions concrètes de réforme

Les allocations pour les enfants et la politique des naissances au Québec : principes directeurs et propositions concrètes de réforme

Les allocations pour les enfants et la politique des naissances au Québec : principes directeurs et propositions concrètes de réforme

Les allocations pour les enfants et la politique des naissances au Québec : principes directeurs et propositions concrètes de réformes

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Référence bibliographique [9074]

Fortin, Pierre. 1989. «Les allocations pour les enfants et la politique des naissances au Québec : principes directeurs et propositions concrètes de réforme». Dans Dénatalité : des solutions , sous la dir. de Conseil des affaires sociales Québec, p. 161-180. Colloque international sur les politiques familiales tenu le 15 juin 1988, Québec: Les publications du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Discuter de trois principes d’interventions gouvernementales visant à relever le niveau de fécondité

Questions/Hypothèses :
Pour l’auteur il n’y a que trois possibilités mathématiques pour régler le problème démographique du Québec : « Accueillir plus d’immigrants, faire plus d’enfants ou accepter l’extinction. » (p. 163)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Documents budgétaires et communications diverses

Type de traitement des données :
Analyse statistique, réflexion critique

3. Résumé


L’auteur propose trois principes d’intervention pour favoriser une augmentation du niveau de la fécondité. Le premier principe vise « tout simplement un partage 50-50 des coûts privés actuels d’un enfant entre les parents et l’État » (p. 166) Le second « stipule qu’il faut, dans la mesure du possible, maximiser le bang en termes de nouvelles naissances obtenues par million de dollars investis [...] » (p. 168) et que « nous devrons faire porter une proportion très importante des fonds accordés sur les nouveau-nés et les jeunes enfants par comparaison aux enfants plus âgés; et, [...] nous devrons aborder la question des enfants de premier et de deuxième rangs tout aussi bien que celle des enfants de troisième rang. » (p. 169) Pour le troisième, la neutralité face au travail extérieur et à la garde, l’auteur suggère deux amendements : « L’État doit faire preuve [de neutralité] face aux décisions personnelles des mères sur le mode de vie qu’elles désirent adopter » (p. 175) et « imposer une limite supérieure à la compensation octroyée. » (p. 175)