États-Unis et Québec. Jalons de l’histoire des dispositifs d’intervention auprès des auteurs de violence conjugale

États-Unis et Québec. Jalons de l’histoire des dispositifs d’intervention auprès des auteurs de violence conjugale

États-Unis et Québec. Jalons de l’histoire des dispositifs d’intervention auprès des auteurs de violence conjugale

États-Unis et Québec. Jalons de l’histoire des dispositifs d’intervention auprès des auteurs de violence conjugales

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Référence bibliographique [896]

Brodeur, Normand. 2010. «États-Unis et Québec. Jalons de l’histoire des dispositifs d’intervention auprès des auteurs de violence conjugale». Dans Tu me fais peur quand tu cries! Sortir des violences conjugales , sous la dir. de Ginette Francequin, p. 281-286. Toulouse: Érès.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteur de cet ouvrage rapporte que, selon une enquête récente, il existe en Europe quelques 200 dispositifs d’intervention auprès des auteurs de la violence conjugale. Dans un tel contexte, ce chapitre vise à présenter «[…] quelques jalons de l’histoire des dispositifs similaires implantés en Amérique du Nord depuis trente ans.» (p. 281) De manière plus spécifique, leur regard «[…] se portera plus particulièrement sur les États-Unis, où l’on en trouve le plus grand nombre (plus de 2000), et sur le Québec, où l’on compte une trentaine de dispositifs francophones.» (p. 281)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Comme le montre ce bref survol historique, les politiques pénales et sociales adoptées par l’État ont joué un rôle crucial dans le développement et la survie des dispositifs d’aide aux auteurs de violence conjugale, et ce, tant aux États-Unis qu’au Québec. Les groupes au service des femmes violentées ont aussi exercé une grande influence sur les pratiques d’intervention en exigeant que la protection des victimes et la responsabilisation des auteurs de violence soient une préoccupation centrale et en proposant des modèles d’intervention comme celui de Duluth. Il semble toutefois qu’il ne suffise pas de confronter tous les auteurs de violence de la même façon pour les rééduquer. Les facteurs qui contribuent à la violence étant nombreux, les approches du traitement doivent être diversifiées et adaptées aux caractéristiques de chacun.» (p. 286)