Série sur le logement selon les données du recensement de 2006 : Numéro 7 – conditions de logement des ménages d’immigrants

Série sur le logement selon les données du recensement de 2006 : Numéro 7 – conditions de logement des ménages d’immigrants

Série sur le logement selon les données du recensement de 2006 : Numéro 7 – conditions de logement des ménages d’immigrants

Série sur le logement selon les données du recensement de 2006 : Numéro 7 – conditions de logement des ménages d’immigrantss

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Référence bibliographique [885]

Canada. Société canadienne d’hypothèques et de logement. 2010. Série sur le logement selon les données du recensement de 2006 : Numéro 7 – conditions de logement des ménages d’immigrants. Ottawa: Gouvernement du Canada, Société canadienne d’hypothèques et de logement, le Point en recherche.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Le présent numéro du Point en recherche porte sur les conditions de logement des ménages ayant immigré au Canada. » (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Indicateurs et données sur le logement fondés sur l’adaptation de données de Statistique Canada tirées du Recensement de 2006 issus de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

Instruments :
« L’évaluation des conditions de logement s’appuie sur les normes établies par la SCHL [Société canadienne d’hypothèques et de logement] concernant l’acceptabilité des habitations et les besoins impérieux en matière de logement » (p. 1)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


« En 2006, environ 23 % des ménages canadiens avait comme chef un immigrant. Les ménages formés de nouveaux immigrants (c’est-à-dire ceux dont le principal soutien est arrivé au Canada entre le 1er janvier 2001 et le jour du recensement en mai 2006) représentaient 2,6 % de l’ensemble de ces ménages. La vaste majorité des ménages d’immigrants (89 %) vivait dans une RMR [région métropolitaine de recensement] ; Toronto, Vancouver et Montréal en accueillaient près de 61 %. Par rapport aux non-immigrants et aux immigrants arrivés au pays il y a plusieurs années, les ménages de nouveaux immigrants ont un revenu plus bas, accusent un taux de propriétaires-occupants plus faible et courent davantage de risques d’être en situation de besoins impérieux en matière de logement. Ils vivent également plus fréquemment des problèmes liés à l’abordabilité et au surpeuplement des logements. De façon générale, les immigrants, et plus particulièrement ceux arrivées récemment au pays, présentent une plus forte proportion de besoins impérieux associés à la taille insuffisante du logement que les non-immigrants. Les conditions de logement des ménages d’immigrants s’améliorent à mesure que s’allonge leur durée de résidence au Canada. » (p. 9) Ce document peut intéresser les chercheurs qui travaillent sur la famille au Québec puisque les auteurs présentent des données pour la province du Québec et ses RMR.