Typologie des manières de problématiser la famille dans le cadre de la politique familiale au Québec

Typologie des manières de problématiser la famille dans le cadre de la politique familiale au Québec

Typologie des manières de problématiser la famille dans le cadre de la politique familiale au Québec

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Référence bibliographique [8589]

Belleau, Hélène. 1992. «Typologie des manières de problématiser la famille dans le cadre de la politique familiale au Québec». mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Département de sociologie.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Étude portant sur « La conception qu’ont les organismes nationaux, des rapports entre la famille, la société civile et l’État et plus généralement sur leurs visions des rapports hommes-femmes. » (p. V).

Questions/Hypothèses :
« [...] nous avons émis l’hypothèse selon laquelle la difficulté d’arriver à une entente sur la politique familiale découle du fait qu’il existe plusieurs manières de problématiser la famille. » (p. V)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Mémoires de trente-cinq organismes nationaux ayant participé à la consultation provinciale de 1985 en vue de l’élaboration de la politique familiale au Québec

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« [...] nous avons donc procédé à une analyse comparative des définitions de la famille proposées dans les mémoires de trente-cinq organismes nationaux ayant participé à la consultation tenue en 1985. Pour les fins de cette étude, nous avons dégagé, dans un premier temps, quatre dimensions regroupant la majorité des thèmes abordés dans l’argumentation de ces organismes, à savoir: la morphologie de la famille, les fonctions qui lui sont attribuées, la perception de la temporalité et de l’espace et enfin la façon d’envisager la dichotomie privé/public. À partir de ce découpage, nous avons comparé, dans un deuxième temps, les définitions des organismes pour en arriver ensuite à mettre en évidence quatre perspectives théoriques faisant appel à des logiques distinctes. Enfin, en replaçant les définitions des 35 organismes dans ces quatre perspectives, il fut possible de situer leurs manières de problématiser la famille les unes par rapport aux autres et de comprendre les raisons qui justifient leurs prises de positions respectives. » (p. V)