Le partenariat entre les familles et l’État: utopie ou nécessité?

Le partenariat entre les familles et l’État: utopie ou nécessité?

Le partenariat entre les familles et l’État: utopie ou nécessité?

Le partenariat entre les familles et l’État: utopie ou nécessité?s

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Référence bibliographique [8508]

Jutras, Sylvie. 1992. «Le partenariat entre les familles et l’État: utopie ou nécessité?». Dans Aider ses parents vieillissants. Un défi: personnel, familial, politique, communautaire , sous la dir. de Georges Létourneau, p. 147-160. Montréal: Association québécoise de gérontologie.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« [...] examiner la part de services assurés par le réseau naturel, les difficultés vécues tant par les aidants que par les aidés et analyser le potentiel d’aide de ce réseau naturel. Par après, nous discuterons de la notion de partenariat telle qu’elle pourrait se définir plus explicitement en fonction des responsabilités et droits respectifs des partenaires, dans le périmètre du potentiel propre de la famille comme soignante et en considérant quelle pourrait être la contribution des autres partenaires. » (pp. 148-149)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Pourquoi parler d’utopie et de nécessité? J’ai mentionné que nous sommes probablement au coeur d’un changement paradigmatique: notre conception de la santé dans toutes ses composantes est en pleine évolution et participe de la mutation des besoins socio-sanitaires et de notre conception plus systémique de la promotion de la santé. [...] De toutes façons, le développement d’un partenariat réaliste entre les acteurs préoccupés du bien-être des personnes âgées en perte d’autonomie est une nécessité, compte tenu d’abord des prévisions des besoins d’aide des personnes âgées. C’est en effet la première fois au cours de l’histoire de l’humanité que les personnes âgées vivent aussi longtemps, en aussi grand nombre et en aussi grande proportion par rapport au reste de la population. Par ailleurs, le développement d’un véritable partenariat est nécessaire en raison de la fragilité de la famille comme principale dispensatrice de soins auprès des personnes âgées. » (p. 159)