Perception des rôles sexuels : variations ethno-culturelles et de sexe chez des cégépiens de Montréal

Perception des rôles sexuels : variations ethno-culturelles et de sexe chez des cégépiens de Montréal

Perception des rôles sexuels : variations ethno-culturelles et de sexe chez des cégépiens de Montréal

Perception des rôles sexuels : variations ethno-culturelles et de sexe chez des cégépiens de Montréals

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Référence bibliographique [8481]

Levy, Joseph Josy, Maticka-Tyndale, Eleanor et Bicher, Marilyn. 1992. «Perception des rôles sexuels : variations ethno-culturelles et de sexe chez des cégépiens de Montréal». Dans Comprendre la famille , sous la dir. de Gilles Pronovost, p. 163-178. Actes du 1er symposium québécois de recherche sur la famille tenu à l’Université du Québec à Trois-Rivières les 24 et 25 octobre 1991. Québec: Les Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Analyser « les orientations féministes d’un groupe d’étudiants de Cégeps de la région de Montréal » (p. 164)

Questions/Hypothèses :
Les variations ethno-culturelles sont-elles absentes au Québec en ce qui concerne les perceptions des rôles sexuels? (p. 164)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
708 étudiants cégépiens âgés de 17 à 22 ans (trois Cégeps anglophones et quatre francophones de Montréal). Le questionnaire d’enquête a été administré à la fin de 1988 et au début de 1989

Instruments :
Questionnaire d’enquête

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Il s’agit d’une « recherche exploratoire sur l’égalitarisme sexuel dans trois sphères cruciales (sphère familiale, publique, et interpersonnelle). » (p. 173) « Cette enquête sur les différences dans les orientations égalitaires selon le sexe et l’appartenance ethno-culturelle a permis de confirmer l’une des hypothèses majeures de la documentation contemporaine sur les attitudes à l’égard de la progression sociale des femmes. Que ce soit dans la sphère familiale, publique ou interpersonnelle, les femmes apparaissent plus égalitaires que les hommes. [...] Dans l’ensemble, le consensus entre les femmes est plus apparent qu’entre les hommes. [...] Dans cette perspective, cette recherche permet de fournir quelques éléments à considérer dans les stratégies d’intervention, dans le but d’améliorer à la fois les rapports interindividuels dans le milieu collégial et la préparation aux responsabilités familiales et démocratiques. » (p. 176)