On n’est pas des parkings! Situation actuelle des haltes-garderies de la région de Montréal
On n’est pas des parkings! Situation actuelle des haltes-garderies de la région de Montréal
On n’est pas des parkings! Situation actuelle des haltes-garderies de la région de Montréal
On n’est pas des parkings! Situation actuelle des haltes-garderies de la région de Montréals
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Référence bibliographique [8419]
Beaucage, Réjean. 1993. On n’est pas des parkings! Situation actuelle des haltes-garderies de la région de Montréal. Montréal: Association des haltes-garderies de la région de Montréal.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : - « Afin de bien comprendre la spécificité des haltes-garderies, nous ferons le tour des différents services de garde offerts au Québec et verrons quelles sont leurs spécificités. » (p. 5) - Définir la halte-garderie - Examiner ce que prévoit l’avant-projet de réglementation de l’Office des services de garde à l’enfance (OSGE) (p. 5)
Questions/Hypothèses : Les haltes-garderies et les jardins d’enfants ne sont toujours par réglementés et donnent à penser que ces lieux « Laissés à eux-mêmes, autour desquels flotte une aura de clandestinité assez peu susceptible de suggérer une autre idée que celle de parkings pour enfants. » (p. 5)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : 20 responsables de haltes-garderies (1 homme/19 femmes)
Instruments : Guide d’entretien semi directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
À partir d’un questionnaire administré à vingt responsables de haltes-garderies, l’auteur aborde certaines particularités de ce type de service : la gestion et le financement (pp. 29-30), le personnel et le fonctionnement (pp. 30-32), la clientèle, les heures d’ouvertures, les tarifs (pp. 33-36). « Nous croyons avoir démontré, à travers les divers exemples et portraits, la nécessité des services de garde en halte-garderie. [...] Nous n’avons guère de recommandations à ajouter à celles qui sont déjà venues de plusieurs groupes d’étude très qualifiés dont nous n’avons voulu être qu’un écho. On ne peut plus qu’espérer, à l’heure du bénévolat obligatoire, que ceux et celles qui ont les vrais jobs relèvent leurs manches et se mettent au travail. » (p. 39)