Parental Incarceration and the Ties that Bind: Children of Offenders as Collateral Damage
Parental Incarceration and the Ties that Bind: Children of Offenders as Collateral Damage
Parental Incarceration and the Ties that Bind: Children of Offenders as Collateral Damage
Parental Incarceration and the Ties that Bind: Children of Offenders as Collateral Damages
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Référence bibliographique [841]
Coulthard, Julie. 2010. «Parental Incarceration and the Ties that Bind: Children of Offenders as Collateral Damage». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université McGill, Département de sociologie.
Intentions : « There are three primary research objectives in this study. First, I will examine the well-being of the children and assess how they are faring as children of offenders. [...] The second research objective in this study, therefore, was a deeper look into key potential factors that impact upon the children’s well-being. [...] My third research objective is to explore the deviant and criminal behaviour of the children in this study. » (p. 8-13)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : « Les données pour cette étude proviennent [de] trois groupes d’individus, incluant : des professionnels qui avaient de l’expérience avec des enfants de parents incarcérés ; les tuteurs légales d’enfants dont un parent est incarcéré ; et les enfants de parents incarcérés. L’étude comprend un échantillon de 47 participants de Kingston, Ontario. » (p. 3)
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« On réfère aux enfants de parents criminels comme étant les ‘victimes cachées du crime’ puisque l’incarcération de leurs parents a un impact négatif profond sur eux. Pourtant, malgré les inquiétudes pressantes concernant la qualité de vie de ces enfants, il existe des lacunes sérieuses entre notre compréhension de leur bien-être, la façon dans laquelle certains facteurs peuvent affecter leur bien-être et la relation entre la condition de vie des enfants et leurs comportements déviants et criminels. [...] Quatre indicateurs ont été utilisés pour évaluer le bien-être (émotionnel, comportemental, académique, et social) et l’analyse des données indique que la majorité des enfants avaient des difficultés à plus qu’un niveau. […] Finalement, en investiguant les relations entre le bien-être des enfants et leur participation dans des comportements déviants and criminels, une détermination peut être faite que malgré les preuves que le bien-être des enfants peut servir pour prédire des comportements négatifs, c’est la colère et l’agressivité de façon plus spécifique qui est nécessaire pour prédire quels enfants seront victimes de conséquences négatives. Mon étude offre aux chercheurs et aux analystes politiques une image plus complète et compréhensive des enfants de parents incarcérés, de leur vie et des obstacles qui les affrontent. » (p. 3)