Disparités régionales dans la propension des Canadiennes à vivre en famille recomposée
Disparités régionales dans la propension des Canadiennes à vivre en famille recomposée
Disparités régionales dans la propension des Canadiennes à vivre en famille recomposée
Disparités régionales dans la propension des Canadiennes à vivre en famille recomposées
|
Référence bibliographique [7918]
Le Bourdais, Céline, D’astous, Patrick et Desrosiers, Hélène. 1995. «Disparités régionales dans la propension des Canadiennes à vivre en famille recomposée ». Cahiers de géographie du Québec, vol. 39, no 106, p. 25-42.
Intentions : « Cet article vise à estimer l’importance des recompositions familiales à travers le Canada » (p. 27)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Les enquêtes ont recueillies les histoires matrimoniales (mariages et unions libres) et parentales de larges échantillons d’environ 14 000 répondants, hommes et femmes, âgés entre 18 et 65 ans au moment de l’enquête de 1984 (et de 15 ans ou plus au moment de l’enquête de 1990). Pour cette analyse seules les femmes ont été retenues.
Instruments : Deux enquêtes rétrospectives menées au Canada entre 1984 et 1990.
Type de traitement de données : Analyse statistique
3. Résumé
« Cette recherche situe l’importance des familles recomposées dans quatre provinces canadiennes (Atlantique, Québec, Ontario et Ouest). [...] La première partie de l’enquête fournit une estimation de l’ampleur du phénomène dans les quatre régions retenues au moment où les deux enquêtes ont été réalisées. La seconde partie examine dans quelle mesure les modalités d’entrée dans le premier épisode en famille recomposée, vécues par les répondantes rejointes en 1990, diffèrent d’une région à l’autre, et de quelle façon la propension des femmes à connaître cette expérience s’est modifiée au fil des générations. Elle fournit également des informations sur la durée et le type d’issue de ces épisodes familiaux. Plus globalement, l’analyse longitudinale des recompositions familiales permet de tracer les grands traits des modèles de constitution familiale existants dans les quatre régions étudiées et d’esquisser l’évolution attendue de ce type de famille. » (p. 25)