Quand rien ne va plus : de l’idéal familial de l’État en Nouvelle-France à la réalité des séparations; la conception de l’État

Quand rien ne va plus : de l’idéal familial de l’État en Nouvelle-France à la réalité des séparations; la conception de l’État

Quand rien ne va plus : de l’idéal familial de l’État en Nouvelle-France à la réalité des séparations; la conception de l’État

Quand rien ne va plus : de l’idéal familial de l’État en Nouvelle-France à la réalité des séparations; la conception de l’États

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Référence bibliographique [7827]

Rodrigue, Isabelle. 1995. «Quand rien ne va plus : de l’idéal familial de l’État en Nouvelle-France à la réalité des séparations; la conception de l’État». Dans Espaces-temps familiaux au Canada aux XVIIe et XVIIIe siècles , sous la dir. de Jacques Mathieu, p. 25-41. Sainte-Foy, Québec: Centre Interuniversitaire d’études québécoises.

Fiche synthèse

2. Méthode


Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


Aux yeux de l’État, la famille est une institution fondamentale dans le développement de la colonie. Le mariage revêt une importance capitale puisqu’il est à la base de toute famille. Il est à la fois un sacrement et un contrat civil et social. L’État n’hésite pas à le réglementer, sans trop contrevenir aux règles de l’Église. Cinq rôles principaux du mariage (reproduction, éducation, support économique, contrôle social et liens affectifs) émergent du discours de l’État sur la famille et démontrent l’importance que prend cette institution en Nouvelle-France. Ces rôles reflètent l’image idéale de la famille. Les séparations de biens et de corps prouvent que, face à la réalité, l’État doit mettre de côté son image de la famille idéale pour régler certaines situations critiques.