Attitudes Toward Family and Gender Roles: A Comparison of English and French Canadian Women
Attitudes Toward Family and Gender Roles: A Comparison of English and French Canadian Women
Attitudes Toward Family and Gender Roles: A Comparison of English and French Canadian Women
Attitudes Toward Family and Gender Roles: A Comparison of English and French Canadian Womens
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Référence bibliographique [7446]
Wu, Zheng et Baer, Douglas E. 1996. «Attitudes Toward Family and Gender Roles: A Comparison of English and French Canadian Women ». Journal of Comparative Family Studies, vol. 27, no 3, p. 437-452.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : Démontrer que les attitudes envers la famille et les rôles selon le sexe sont différents d’un groupe social à l’autre. En l’occurence celles-ci seront étudiées par le biais de deux groupes linguistiques, les Canadiens de langue anglophone et francophone.
Questions/Hypothèses : - Est-ce que les attitudes relatives à la familles sont universelles d’un groupe social à l’autre ou sont-elles plus prononcées dans certains groupes? - « Nous développerons et vérifierons l’hypothèse que les anglo-canadiens ont des attitudes et des orientations à l’égard dela vie familiale et des rôles entre les sexes différents des franco-canadiens. » (p. 438)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : 5315 femmes entre 18 et 49 ans
Instruments : Les données de cette étude sont issues de la première Enquête canadienne de fécondité de 1987. Cette enquête réalisée par téléphone.
Type de traitement de données : Analyse statistique
3. Résumé
S’appuyant sur la théorie normative de la fécondité, cette étude traite des différences d’attitude entre Canadiennes françaises et anglaises à l’égard du mariage, de la procréation et de la répartition sexuelle des rôles. Un échantillon national représentatif des Canadiennes d’âge fécond a été tiré de la première Enquête nationale de fécondité. L’analyse, au moyen d’un modèle d’équations structurelles, montre que l’écart est important, et qu’il reste significatif quand on contrôle la religion et d’autres caractéristiques individuelles. En général, les anglophones sont à la fois plus respectueuses que les francophones des valeurs familiales traditionnelles et moins favorables à l’égalité des sexes. Quant aux francophones, elles accordent davantage d’importance à la procréation que les anglophones. Les auteurs évoquent les implications de ces résultats.