Les croyances des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec envers l’allaitement maternel
Les croyances des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec envers l’allaitement maternel
Les croyances des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec envers l’allaitement maternel
Les croyances des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec envers l’allaitement maternels
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Référence bibliographique [739]
Gervais, Christine et de Montigny, Francine. 2010. «Les croyances des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec envers l’allaitement maternel ». Reflets : Revue d’intervention sociale et communautaire, vol. 16, no 1, p. 127-150.
Intentions : « Dans le but de mieux connaître l’expérience des pères d’origine maghrébine sur l’allaitement maternel, la présente recherche examine leurs croyances sur ce sujet. » (p. 132)
Questions/Hypothèses : « Il s’agit de répondre à l’interrogation suivante : Quelles sont les croyances, telles que définies par Wright et Bell (2004), des pères originaires du Maghreb immigrés au Québec concernant l’alimentation du nouveau-né ? » (p. 132) »
2. Méthode
Échantillon/Matériau : « L’échantillon de cette étude comprend 12 pères immigrants. » (p. 135)
Instruments : - Le canevas d’entrevue - Le génogramme - Le questionnaire sociodémographique
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« La transition à la paternité dans un contexte d’immigration récente comporte de nombreux défis pour les hommes. Parmi ceux-là, l’expérience de l’allaitement est déterminante pour leur adaptation à leur nouveau rôle de père, particulièrement dans un contexte d’immigration où les pratiques culturelles traditionnelles de maternages sont remises en question au contact de la société d’accueil. […] L’analyse des données révèle les croyances des pères envers l’allaitement maternel ainsi que leurs croyances quant aux facteurs facilitant l’expérience de l’allaitement. Les résultats permettent de formuler des recommandations pour la pratique clinique auprès des familles immigrantes, pour la recherche et pour l’enseignement en santé familiale. » (p. 127)