Les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants sociaux
Les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants sociaux
Les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants sociaux
Les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants sociauxs
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Référence bibliographique [6990]
Lessard, Geneviève. 1998. «Les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants sociaux ». Revue canadienne de service social / Canadian Social Work Review, vol. 15, no 1, p. 39-55.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : - « Le but de cette étude est [...] de décrire comment les intervenants qui travaillent dans des organismes offrant des services à des populations à risque se représentent leurs clientèles. » (p. 42) - « Ainsi, cette étude vise plus spécifiquement à établir les convergences ou des divergences dans les représentations sociales des clientèles à risque chez des intervenants qui se distinguent par le rôle qu’ils assument auprès des clientèles et par le contexte organisationnel dans lequel s’effectue l’intervention. » (p. 43)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données « [...] issues d’une étude évaluative de projets financés par le Programme d’action communautaire pour les enfants (PACE) » (Turcotte, Samson, Lessard et Beaudoin, 1997).
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« La nature de la relation entre l’intervenant et le client exerce une influence considérable sur l’efficacité de l’intervention. Un des facteurs associés à la qualité de la relation d’aide concerne la façon dont l’intervenant perçoit son client. Il arrive que les intervenants aient des croyances envers les familles à risque qui nuisent à l’établissement de la relation d’aide. Le but de cette étude est de cerner les représentations qu’ont les intervenants sociaux des clientèles à risque, en effectuant une analyse qualitative du discours de 51 intervenants qui travaillent avec des familles à risque. Ces dernières se caractérisent par la présence de difficultés dans la relation parent-enfant. Selon les intervenants, ces difficultés sont attribuables à un amalgame de facteurs qui se regroupent en trois catégories : les caractéristiques des parents, les nombreuses sources de stress et l’absence de soutien. Cette étude met également en évidence quelques orientations à privilégier dans l’intervention auprès des familles à risque, de manière à favoriser l’établissement d’une relation positive entre l’intervenant et ces clientèles. » (p. 39)