Les composantes de la parenté biologique en régime de fécondité naturelle. L’exemple du Québec ancien

Les composantes de la parenté biologique en régime de fécondité naturelle. L’exemple du Québec ancien

Les composantes de la parenté biologique en régime de fécondité naturelle. L’exemple du Québec ancien

Les composantes de la parenté biologique en régime de fécondité naturelle. L’exemple du Québec anciens

| Ajouter

Référence bibliographique [6966]

Naud, Jean-François, Desjardins, Bertrand et Charbonneau, Hubert. 1998. «Les composantes de la parenté biologique en régime de fécondité naturelle. L’exemple du Québec ancien ». Population, no 1,2, p. 291-310.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Offrir une image descriptive de ce qu’était la parenté biologique dans une population en régime de fécondité naturelle, celle du Québec ancien. » (p. 292)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Près de 4000 individus faisant partie de familles établies en Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles, tous nés au Canada avant 1700. A été exclue la première génération de Canadiens.

Instruments :
Registres de la population du Québec Ancien (RPQA)

Type de traitement de données :
Analyse statistique

3. Résumé


« Le présent article se veut une analyse descriptive de ce que représente la parenté biologique dans une population en régime de fécondité naturelle. La population utilisée est celle du Canada sous le régime français, plus particulièrement la deuxième génération de Canadiens de naissance. Les données proviennent du Registre de la population du Québec ancien (Programme de recherche en démographie historique, Université de Montréal). L’analyse faite au niveau des individus, porte sur l’importance de la parenté biologique proche, cherche à identifier les causes de sa variation et examine succintement s’il est possible de la prédire à l’aide de données moins considérables. Les résultats obtenus sont, avant tout, un portrait de la parenté en régime de fécondité naturelle et des indications qui tendent à montrer qu’effectivement la parenté biologique pourrait être estimée par des données assez sommaires dans une population possédant une certaine stabilité. »