Les variations des conditions de logement des familles canadiennes

Les variations des conditions de logement des familles canadiennes

Les variations des conditions de logement des familles canadiennes

Les variations des conditions de logement des familles canadienness

| Ajouter

Référence bibliographique [6616]

Mongeau, Jaël et Lapierre-Adamcyk, Évelyne. 1999. «Les variations des conditions de logement des familles canadiennes». Dans Les familles canadiennes à l’approche de l’an 2000 , sous la dir. de Yves Péron, Desrosiers, Hélène, Juby, Heather, Lapierre-Adamcyk, Évelyne, Le Bourdais, Céline, Marcil-Gratton, Nicole et Mongeau, Jaël, p. 285-333. Ottawa: Gouvernement du Canada, Statistiques Canada.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Le présent chapitre vise à examiner les liens qui existent entre les différents types de famille et les conditions de logement que les familles s’offrent en fonction des ressources dont elles disposent. Dans un premier temps, c’est l’accès à la propriété qui retiendra notre attention. [...] Dans un deuxième temps, c’est l’importance du poids que représente le coût du logement par rapport aux ressources dont les familles disposent qui fera l’objet de notre analyse. Nous mettrons l’accent sur les liens entre le type de famille et cet effort financier, compte tenu du mode d’occupation ainsi que du fait que les familles disposent ou non d’un double revenu. » (p. 285)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Recensements de 1961, 1971, 1981 et 1991.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


« Le mode d’occupation du logement a un effet déterminant sur les autres caractéristiques du logement. Tout d’abord, il y a une forte relation entre le mode d’occupation et le type de bâtiment, si bien que, pour les familles, il faut presque absolument être propriétaire pour habiter un logement qui offrira de l’espace extérieur privé pour les ébats des enfants, c’est-à-dire une maison unifamiliale. Ensuite, les principales dépenses de logement représentent un moins fort pourcentage du revenu du ménage pour les propriétaires que pour les locataires. De plus, il y a proportionnellement moins de logements occupés par leur propriétaire qui sont surpeuplés ou qui nécessitent des réparations. » (p. 316)