Coup de pouce et pédale douce ou la règle du gros bon sens comme repère éthique de la prévention auprès des personnes-soutien de personnes âgées dépendantes

Coup de pouce et pédale douce ou la règle du gros bon sens comme repère éthique de la prévention auprès des personnes-soutien de personnes âgées dépendantes

Coup de pouce et pédale douce ou la règle du gros bon sens comme repère éthique de la prévention auprès des personnes-soutien de personnes âgées dépendantes

Coup de pouce et pédale douce ou la règle du gros bon sens comme repère éthique de la prévention auprès des personnes-soutien de personnes âgées dépendantess

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Référence bibliographique [6589]

Paquet, Mario, Bals, Myriam, Guillemette, André et Richard, Caroline. 1999. «Coup de pouce et pédale douce ou la règle du gros bon sens comme repère éthique de la prévention auprès des personnes-soutien de personnes âgées dépendantes». Dans Logique familiale de soutien auprès des personnes âgées dépendantes. Une étude exploratoire sur le recours aux services , sous la dir. de Mario Paquet, p. 67-74. Saint-Charles-Borromée, Québec: Gouvernement du Québec, Régie régionale de la santé et des services sociaux, Direction de la santé publique.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« L’objectif de cette recherche est d’explorer le phénomène de la réticence des personnes-soutiens vis-à-vis de l’utilisation des services de soutien formels. » (p. 68)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« [...] quatre ’experts’ ayant des connaissances dans le champ de la recherche sur le soutien informel, de même que plus de cent personnes (cadres, travailleurs sociaux, médecins, infirmières, auxiliaires familiales, etc. oeuvrant dans des CLSC, centres d’accueil et centres d’action bénévole de la région de Lanaudière). » (p. 69)

Instruments :
Entrevues individuelles et de groupe

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Dans le présent travail, nous présentons des données tirées d’une recherche en cours. [...] Trois parties composent le corps du texte. La première pose le phénomène de la réticence à titre d’hypothèse et en trace les contours pour démontrer sa vraisemblance. Dans un deuxième temps, nous nous efforçons de démontrer comment la réticence prend en défaut la logique du système. De ce qui se dégage de la première et de la deuxième partie, nous tirons, en troisième lieu, des propositions utiles pour le milieu d’intervention tant sur le plan éthique que pratique. » (p. 69)