L’adaptation socioémotionnelle du jeune enfant qui présente une déficience intellectuelle ou un retard global de développement
L’adaptation socioémotionnelle du jeune enfant qui présente une déficience intellectuelle ou un retard global de développement
L’adaptation socioémotionnelle du jeune enfant qui présente une déficience intellectuelle ou un retard global de développement
L’adaptation socioémotionnelle du jeune enfant qui présente une déficience intellectuelle ou un retard global de développements
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Référence bibliographique [6552]
Proulx, Renée, Lacharité, Carl et Rivest, Christine. 1999. «L’adaptation socioémotionnelle du jeune enfant qui présente une déficience intellectuelle ou un retard global de développement ». Revue CNRIS, vol. 2, no 1, p. 11-20.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : L’article traite des facteurs qui influencent l’adaptation socioémotionnelle des jeunes enfants présentant une déficience intellectuelle ou un retard global du développement.
2. Méthode
Type de traitement des données : Analyse de contenu, réflexion critique
3. Résumé
« Différentes études et observations cliniques suggèrent que le développement précoce d’habiletés socioémotionnelles, qui permettent à l’enfant présentant une déficience intellectuelle ou un retard global de développement de composer avec son monde intérieur (besoins, désir, etc.) et avec le monde qui l’entoure, s’avère central pour son bien-être et son intégration sociale. [...] C’est dans cette optique promotionnelle et préventive que le présent article s’inscrit. L’article vise d’abord à définir et à présenter les principales composantes de l’adaptation socioémotionnelle des enfants au cours des premières années de leur vie. Il vise également à décrire quelques-uns des facteurs susceptibles d’influencer l’adaptation socioémotionnelle des jeunes enfants qui présentent une déficience intellectuelle ou un retard global de développement. Pour ce faire, nous présenterons, sous une forme résumée, certaines caractéristiques de l’enfant et de son environnement qui semblent associées à la présence plus ou moins marquée de troubles de comportement chez les enfants qui ont une déficience intellectuelle. » (p. 11)