Joint Police/Social Work Intervention in Conjugal Violence: A Critical Exploration
Joint Police/Social Work Intervention in Conjugal Violence: A Critical Exploration
Joint Police/Social Work Intervention in Conjugal Violence: A Critical Exploration
Joint Police/Social Work Intervention in Conjugal Violence: A Critical Explorations
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Référence bibliographique [6094]
Oxman-Martinez, Jacqueline, Krane, Julia, Wehbi, Samantha et Rowe, Bill. 2000. «Joint Police/Social Work Intervention in Conjugal Violence: A Critical Exploration ». Intervention, no 111, p. 34-43.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «The purpose of this paper is to critically examine what is known about […]» joint approaches in conjugal violence matters. (p. 35)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«Au cours de la dernières décennie, des initiatives positives ont été prises pour contrer la violence conjugale, entre autres : l’implantation de politiques et de procédures pour augmenter les références et les signalements; la maximisation de la protection des femmes; le renforcement de l’aspect criminel de la violence conjugale et, finalement, la prévention des offenses. L’intervention isolée des policiers est inadéquate pour briser le cycle de la violence conjugale et répondre aux besoins des victimes. C’est pourquoi des approches conjointes ont été développées, implantées et évaluées dans certaines juridictions de l’Amériques du Nord. […] Bien que ces approches conjointes représentent une manière plus efficace et sensée de faire face à la violence conjugale, des améliorations doivent être apportées. Entre autres, il est nécessaire d’articuler un cadre théorique capable de comprendre et de répondre à la problématique en défiant la présomption que la violence conjugale est isolée de son contexte social. En outre, cette violence est, d’une part, particulièrement liée à la diversité ethno-culturelle et, d’autre part, aux rapports de force entre les intervenants, ce qui peut avoir un impact sur l’efficacité de la collaboration.» (p. 34)