Quand une procédure domine un concept : Réflexion sur la sécurité de l’attachement

Quand une procédure domine un concept : Réflexion sur la sécurité de l’attachement

Quand une procédure domine un concept : Réflexion sur la sécurité de l’attachement

Quand une procédure domine un concept : Réflexion sur la sécurité de l’attachements

| Ajouter

Référence bibliographique [5995]

Tarabulsy, George M., St-Laurent, Diane, Moss, Ellen, Provost, Marc A., Lemelin, Jean-Pascal, Maranda, Johanne, Hémond, Isabelle et Bouchard, Caroline. 2000. «Quand une procédure domine un concept : Réflexion sur la sécurité de l’attachement». Dans Attachement et développement : le rôle des premières relations dans le développement humain , sous la dir. de George M. Tarabulsy, Larose, Simon, Pederson, David R. et Moran, Greg, p. 135-152. Sainte-Foy (Québec): Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
S’interroger sur le lien entre la sécurité de l’attachement, l’insécurité (les classifications évitante et ambivalente dans la situation étrangère) et la désorganisation. Les auteurs veulent apporter des réponses qui permettront nécessairement de faire avancer la réflexion.

2. Méthode



Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Nous proposons dans ce chapitre qu’afin de comprendre la contribution unique de la sécurité d’attachement à l’ensemble du développement humain et à la recherche dans ce domaine, il est nécessaire de circonscrire sa définition ainsi que les méthodes d’évaluation qui la caractérisent. À cet égard, nous concevons que la contribution distincte de la théorie de l’attachement est de démontrer que l’enfant, et plus tard l’adolescent et l’adulte, se préoccupe de sa santé physique, émotionnelle et sociale. Ce besoin de sécurité est perçu comme étant un élément central, mais non unique, de plusieurs types de relations, en lien avec d’autres éléments relationnels. En conséquence, l’évaluation de la sécurité d’attachement doit porter, d’une certaine manière, sur la façon dont l’individu se représente son parent, ou toute autre figure avec laquelle il est en relation, comme contribuant à cette sécurité. » (p. 138)