La politique québécoise d’aide sociale axée sur l’insertion obligatoire en emploi s’adressant aux femmes cheffes de famille monoparentale : analyse des fondements idéologiques

La politique québécoise d’aide sociale axée sur l’insertion obligatoire en emploi s’adressant aux femmes cheffes de famille monoparentale : analyse des fondements idéologiques

La politique québécoise d’aide sociale axée sur l’insertion obligatoire en emploi s’adressant aux femmes cheffes de famille monoparentale : analyse des fondements idéologiques

La politique québécoise d’aide sociale axée sur l’insertion obligatoire en emploi s’adressant aux femmes cheffes de famille monoparentale : analyse des fondements idéologiquess

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Référence bibliographique [5924]

Boivin, Louise. 2001. «La politique québécoise d’aide sociale axée sur l’insertion obligatoire en emploi s’adressant aux femmes cheffes de famille monoparentale : analyse des fondements idéologiques». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, Département des sciences politiques.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Ce mémoire a pour objectif d’analyser les fondements idéologiques de la politique québécoise d’aide sociale basée sur l’insertion obligatoire de la politique québécoise en emploi qui s’adresse spécifiquement aux femmes cheffes de famille monoparentale. » (p. v)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Notre corpus est d’abord composé de documents gouvernementaux et paragouvernementaux qui s’échelonnent sur une période commençant en janvier 1994 et terminant en janvier 2000. [...] De plus, notre corpus sera composé d’études empiriques sur la situation des femmes cheffes de famille monoparentale à l’aide sociale et sur celle des femmes et de femmes cheffes de famille monoparentale en emploi. » (p. 34)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Selon le gouvernement, [les femmes cheffes de famille monoparentale] vivent un problème de ’dépendance’ défini par des formules économétriques en termes de durée de recours à l’aide sociale, sans égard aux obligations familiales qu’elles assument seules, aux problèmes qu’elles et leurs enfants peuvent vivre et aux conditions dans lesquelles s’exercent les emplois disponibles. Le postulat idéologique sous-jacent est que l’indépendance réside inconditionnellement dans l’emploi et que le recours à l’aide sociale est un choix individuel relevant d’un calcul économique de coûts-bénéfices comme seule figure possible de ’la rationalité’. Dans une telle perspective, la sortie de l’aide sociale passerait d’abord par des mesures dites d’insertion au marché du travail régulier ou à des emplois dans le secteur de l’économie sociale, visant à modifier ce comportement individuel. » (p. v)