Prevalance and Consequences of Spousal Assault in Canada
Prevalance and Consequences of Spousal Assault in Canada
Prevalance and Consequences of Spousal Assault in Canada
Prevalance and Consequences of Spousal Assault in Canadas
|
Référence bibliographique [5763]
Johnson, Holly et Bunge, Valerie Pottie. 2001. «Prevalance and Consequences of Spousal Assault in Canada ». Revue canadienne de criminologie et de justice pénale / Canadian Journal of Criminology and Criminal Justice, vol. 43, no 1, p. 27-45.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «Les auteurs de ce texte utilisent les données de l’Enquête sociale générale sur la victimisation de 1999 de Statistique Canada pour analyser la fréquence, les effets et les conséquences de la violence conjugale.» (p. 27)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Pour l’Enquête sociale générale sur la victimisation de 1999, 9 178 femmes et 7 827 hommes des dix provinces canadiennes ont répondu à un questionnaire par téléphone.
Instruments : Questionnaire
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«L’étude démontre que les taux de violence conjugale pour cinq ans et ceux qui portent sur un an seulement sont un peu plus élevés pour les femmes et que cette différence est significative statistiquement. Ces taux plus élevés portent sur les unions antérieures aux unions actuelles. [Aussi], les chercheurs ont découvert que la nature des agressions et leurs conséquences sur les femmes étaient plus sérieuses que les agressions sur les hommes. Les agressions dont se plaignent les femmes sont plus fréquentes et ont des conséquences plus graves pour les victimes; et les coûts pour la société sont plus élevés. Ces victimes sont plus souvent blessées au point d’avoir besoin de soins médicaux et de faire des séjours à l’hôpital ou devoir prendre des congés de leur travail […]. Elles ont plus souvent besoins [sic] d’assistance psychosociale ou d’hébergement et ont plus tendance à signaler à la police la violence qui leur est faite. Aussi, les femmes ont cinq fois plus de chance que les hommes de dire qu’elles craignent pour leur vie. […] Les auteurs concluent avec une discussion sur les similitudes et les différences avec d’autres études comparatives.» (p. 27)