Les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec : bref état de situation

Les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec : bref état de situation

Les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec : bref état de situation

Les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec : bref état de situations

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Référence bibliographique [546]

Papineau, Élisabeth. 2010. Les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec : bref état de situation. Québec: Gouvernement du Québec, Institut national de santé publique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le présent rapport propose un survol des données relatives aux habitudes et aux problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et les villages inuits du Québec.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Les données de prévalence sur les problèmes de jeu dans les communautés des Premières Nations et inuites ne sont pas comparables entre elles, non plus qu’elles ne sont applicables à la population qui vit hors communauté. Mais globalement, une convergence des données québécoises, canadiennes et internationales démontre que les problèmes de jeu sont significativement plus répandus parmi les populations aborigènes ou autochtones. Ces recherches établissent que les problèmes de jeu observés chez les Autochtones sont potentiellement précipités par des facteurs de risque spécifiques tels que l’accessibilité au jeu, la dangerosité intrinsèque à certains jeux et particulièrement les appareils électroniques de jeu, le chômage, l’exemple du jeu parental, la pauvreté, la consommation accrue d’alcool et de drogues. Réciproquement, de nombreux éléments de la qualité de vie peuvent être altérés par les problèmes de jeu, comme la situation financière, les relations avec la famille, les amis et la communauté, le soin des enfants et des aînés, l’estime de soi, la performance dans les études ou la formation, l’emploi et la qualité de vie générale.» (p. 15)