La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes : effets quotidiens sur la vie des femmes au Québec

La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes : effets quotidiens sur la vie des femmes au Québec

La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes : effets quotidiens sur la vie des femmes au Québec

La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes : effets quotidiens sur la vie des femmes au Québecs

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Référence bibliographique [539]

Pelchat, Christiane et Beauchamp, Caroline. 2010. «La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes : effets quotidiens sur la vie des femmes au Québec». Dans Race, femme, enfant, handicap : les conventions internationales et le droit interne à la lumière des enjeux pratiques du droit à l’égalité , sous la dir. de Tribunal des droits de la personne et Québec, Barreau du, p. 267-299. Cowansville, Québec: Éditions Yvon Blais.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Les auteures s’intéressent à l’impact de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes sur les politiques en matière d’égalité au Québec.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Depuis près de 30 ans, le Québec et le Canada se sont engagés à respecter la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF). Au début des années 2000, ils se sont aussi déclarés liés par le Protocole facultatif de cette convention. Ces engagements marquent l’adhésion du Québec et du Canada à ce que leurs corpus législatifs soient exempts de discrimination. Ils demandent également l’instauration de différents types de mesures pour éliminer la discrimination subie par les femmes. [D]epuis 2006, le Québec s’est doté d’une politique d’égalité, pour que l’égalité de droit devienne une égalité de fait, qui trace la marche à suivre pour les dix prochaines années. Elle convie l’ensemble de la société et étend la lutte contre la discrimination à différents milieux, allant des médias au domaine des loisirs et du sport en passant par les écoles, les établissements de santé et les entreprises. D’autres mesures tangibles ont aussi été prises : l’utilisation de l’analyse différenciée selon les sexes, l’adoption de la Loi sur l’équité salariale, de la Loi favorisant l’égalité économique des époux, de la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance et du Régime québécois d’assurance parentale. » (p. 269-270)