La construction sociale de la relation adoptive : expériences parentales de l’adoption d’enfants grands à l’international

La construction sociale de la relation adoptive : expériences parentales de l’adoption d’enfants grands à l’international

La construction sociale de la relation adoptive : expériences parentales de l’adoption d’enfants grands à l’international

La construction sociale de la relation adoptive : expériences parentales de l’adoption d’enfants grands à l’internationals

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Référence bibliographique [532]

Piché, Anne-Marie. 2010. «La construction sociale de la relation adoptive : expériences parentales de l’adoption d’enfants grands à l’international». Thèse de doctorat, Montréal, Université McGill, École de service social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Cette étude vise à explorer «[...] l’évolution dans la création d’un lien parent-enfant significatif, en dehors du processus de constitution familiale habituel; du point de vue des parents adoptifs d’enfants ’grands’.» (p. xi)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Douze parents (onze mères et un père) ayant adopté à l’international des enfants âgés de 14 à 54 mois.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


L’auteure affirme que «[l]es complications du processus préadoptif se vivent à plus long terme; certains parents vivent un stress important; cela réside, entre autres, dans la performance qu’ils associent à leur rôle et dans la réponse aux difficultés de leur enfant. Le construit actuel dominant du ’lien qui fait tout’, ou l’accent fortement mis sur l’impact du parent dans la construction psychologique de l’enfant (dont son type d’attachement), agit comme point de référence pour les parents mais peut négliger les autres influences sur son développement, les dynamiques vécues dans la famille et son entourage. Les pratiques doivent favoriser un partage plus équitable des efforts d’accompagnement de ces enfants dans leurs communautés d’accueil; ces pratiques sont également appelées à mieux coordonner les services nécessaires offerts. La survalorisation des parents adoptifs comme uniques garants du développement affectif et social de leur enfant rencontre des limites; celles-ci sont tributaires, entre autres, du contexte de l’enfant avant son adoption.» (p. xi)