The Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society: A case study in Protestant Child Charity in Montreal, 1822-1900

The Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society: A case study in Protestant Child Charity in Montreal, 1822-1900

The Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society: A case study in Protestant Child Charity in Montreal, 1822-1900

The Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society: A case study in Protestant Child Charity in Montreal, 1822-1900s

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Référence bibliographique [5318]

Harvey, Janice Anita. 2002. «The Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society: A case study in Protestant Child Charity in Montreal, 1822-1900». Thèse de doctorat, Montréal, Université McGill, Département d’histoire.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« This thesis uses the two most important female-directed Montreal charities—the Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society—to study Protestant charity and particularly child charity from 1822 to 1900. » (p. ii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« [This] thesis draws on four main types of source material: institutional sources from the various charities, churches and associations are used to analyze the work of these groups; government documents are used to verify the role of the government in the area of social welfare; the contemporary religious and secular press served to determine contemporary attitudes on questions related to charity and women; and finally secondary works on other charities and policy developments provided comparative studies. The main body of the thesis uses archival material from the Protestant Orphan Asylum and the Montreal Ladies’ Benevolent Society. » (p. 26)

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« [C]ette thèse étudie le régime de charité protestante, en particulier celui qui visait les enfants, de 1882 jusqu’en 1900. L’organisation, et le travail des comités des œuvres y sont traités, tout comme les services offerts, l’impact du sexe sur la gestion de la charité et les perceptions de l’enfance et de la famille. […] La conception de l’assistance aux pauvres qu’avaient les administratrices relevait d’une approche conservatrice accordant beaucoup d’importance à la religion, à la tradition et aux valeurs rattachées au travail, à la famille et au rang social. Ces dames cherchaient a [sic] répondre aux besoins des pauvres, mais aussi à former de bons citoyens. Dans le cadre de leurs œuvres, elles faisaient face à des questions complexes concernant les abus à l’égard des enfants, les changements dans les régimes d’apprentissage, la bonne éducation des enfants et les droits des parents. Cette thèse démontre que leur approche conservatrice et leur culture féminine centrées sur les personnes influencèrent leur façon de traiter ces questions. Toutefois, les connaissances qu’elles ont acquises dans le domaine de l’assistance aux pauvres s’avéraient tout autant essentielles. À cet effet, leur volonté de protéger les enfants s’affirma davantage au fil des années. Conséquemment, leurs politiques basées sur une aide temporaire aux familles, sur un acheminement des enfants comme apprentis dans des familles et sur un entraînement dans l’institution divergèrent de celles des nouveaux groupes de réforme à la fin du siècle qui optaient plutôt pour le placement des enfants en famille d’accueil et pour des méthodes de charité ’scientifique’ plus restrictives. » (pp. iii-iv)