1. Objectifs

Intentions :
« As a teacher and member of my school’s governing board, I have often heard the criticism that the government’s effort to decentralize decision-making power has merely replaced one ’boss’ within another. This study represents my effort to understand why members of my governing board feel marginalized by our school board. » (p. 1)

Questions/Hypothèses :
« The study will focus on two guiding questions :
1- What are the experiences of people involved with governing boards in Quebec’s new system of educational governance?
2- How have they experienced obstacles while carrying out their duties? » (p. 10)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
« This study drew from the experiences of three participants. Two of these participants were parent members of the FCHS [Father Connolly High School] governing board and the third participant was a regional director at the PETSB [school board]. » (p. 36)

Instruments :
Guide d’entretien non structuré

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

« Depuis 1998, les conseils d’établissements (CE) des écoles du Québec sont devenus la réponse a (sic) la tendance vers l’autonomie locale des écoles. Le document qui suit fait état de l’expériences [sic] de deux parents membres du CE d’une école et d’un administrateur au niveau de la commission scolaire au tout début des efforts déployés par le gouvernement du Québec pour décentraliser le pouvoir en éducation. Les études soulignent que le pouvoir décisionnel local peut-être retrouvé a [sic] divers degrés, mais que l’implantation n’est pas toujours réussie. Certains obstacles reliés a [sic] l’implantation d’une politique administrative locale proviennent de la composition du CE, de la définition de leurs pouvoirs [sic] et de la nature des rapports qu’ils entretiennent avec leurs commissions scolaires. Les témoignage [sic] des trois participants soulèvent que ces obstacles peuvent nuire a [sic] la crédibilité des CE locaux. La recherche conclut en suggérant quelques recommandations pour améliorer l’efficacité des CE au Québec. » (pp. i-ii)