Réseaux familiaux, itinéraires migratoires et l’installation des Acadiens dans la vallée du Richelieu, 1760-1800

Réseaux familiaux, itinéraires migratoires et l’installation des Acadiens dans la vallée du Richelieu, 1760-1800

Réseaux familiaux, itinéraires migratoires et l’installation des Acadiens dans la vallée du Richelieu, 1760-1800

Réseaux familiaux, itinéraires migratoires et l’installation des Acadiens dans la vallée du Richelieu, 1760-1800s

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Référence bibliographique [4888]

Dickinson, John Alexander. 2003. «Réseaux familiaux, itinéraires migratoires et l’installation des Acadiens dans la vallée du Richelieu, 1760-1800». Dans Famille et marché : XVIe-XXe siècles , sous la dir. de Christian Dessureault, Dickinson, John Alexander et Goy, Joseph, p. 217-228. Sillery (Québec): Septentrion.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Déterminer le rôle des réseaux familiaux dans l’établissement des Acadiens dans la vallée du Richelieu (1760-1800).
Questions/Hypothèses :
« Si l’on peut connaître avec une grande précision le lieu de leur établissement, les mécanismes et stratégies menant aux regroupements, et le rôle de la famille et de l’accès à la propriété sont plus difficiles à saisir. Quels critères déterminaient le choix de telle ou telle paroisse? La disponibilité de bonnes terres jouait-elle un rôle prépondérant ou était-ce la volonté de retrouver des parents et de pouvoir maintenir des liens communautaires perturbés par la guerre? Ont-ils cherché à s’intégrer à la population canadienne ou plutôt à maintenir une appartenance collective par le biais de mariages endogames? » (p. 218)

2. Méthode


Type de traitement des données :
Analyse de contenu et analyse statistique

3. Résumé


« La famille a certainement joué un rôle , mais il semble que, pour les Acadiens du Richelieu, il fut moins important qu’ailleurs et que chez d’autres populations immigrantes. Les réunions de tous les membres d’une famille n’étaient pas systématiques, même si rien ne les [en] empêchait. L’intégration rapide dans la communauté d’accueil semble avoir primé sur un désir de se retrouver entouré par tous les membres de sa famille. » (p. 228)