Étude exploratoire des besoins des proches visitant un parent institutionnalisé atteint de démence

Étude exploratoire des besoins des proches visitant un parent institutionnalisé atteint de démence

Étude exploratoire des besoins des proches visitant un parent institutionnalisé atteint de démence

Étude exploratoire des besoins des proches visitant un parent institutionnalisé atteint de démences

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Référence bibliographique [4725]

Lesage, Jessica et Le Dorze, Guylaine. 2003. «Étude exploratoire des besoins des proches visitant un parent institutionnalisé atteint de démence ». Vie et vieillissement, vol. 2, no 3, p. 19-26.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« La présente analyse tente d’identifier plus spécifiquement quels sont les besoins ressentis par des proches visitant un parent atteint de démences et résident en CHSLD. » (p. 20)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Les participants recrutés sont des proches de personnes atteintes de démence et institutionnalisées dans l’un des deux CHSLD ayant accepté de participer à cette recherche. L’analyse porte sur le propos de sept proches, âgés de 39 à 78 ans [...]. Ces proches visitent régulièrement (au moins une fois par semaine) leur parent. Les personnes âgées résidant en CHSLD ont entre 63 et 93 ans [...]. » (p. 20)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Il apparaît clairement que le rôle d’aidant-visiteur entraîne certaines difficultés et ce, malgré les services offerts par les intervenants du CHSLD. Notre analyse a fait ressortir cinq types de besoin : soutien, répit, améliorer la communication avec son parent institutionnalisé atteint de démence, maintenir la relation avec lui et être informé. La nature et l’ampleur de ces besoins varient toutefois d’une personne à l’autre et découlent de l’expérience personnelle de chacun face à l’institutionnalisation de son parent. Au même titre que les patients institutionnalisés atteints de démence présentent un profil qui leur est propre, le groupe des aidants est tout aussi hétérogène (Gillard & Rabbins, 1999). » (p. 25)