Lorsque la communication se bute au secret: l’intervention psychosociale et la violence familiale

Lorsque la communication se bute au secret: l’intervention psychosociale et la violence familiale

Lorsque la communication se bute au secret: l’intervention psychosociale et la violence familiale

Lorsque la communication se bute au secret: l’intervention psychosociale et la violence familiales

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Référence bibliographique [4511]

Tremblay, Daniel. 2003. «Lorsque la communication se bute au secret: l’intervention psychosociale et la violence familiale ». Education et francophonie, vol. 31, p. 7-21.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Bref, la communication entre le professionnel de l’intervention psychosociale, les personnes directement touchées par la problématique de la violence (victimes et agresseurs/abuseurs) et les autres membres du milieu familial concernés est de nature à soulever de nombreux problèmes. C’est sans doute ce qui explique, en partie du moins, l’abondance des écrits scientifiques et cliniques consacrés au thème du secret entourant la violence familiale. Le propos de cet article est de faire la synthèse de cette littérature en mettant l’accent sur les difficultés de communication entre les victimes, les agresseurs/abuseurs, les familles et les intervenants appelés à interagir en situation de violence familiale. » (p. 9)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« La méthodologie décrite ici a permis de repérer plus de 600 écrits scientifiques ou cliniques associant de manière significative les thèmes du secret et de la violence en milieux de vie conjugal et familial. » (p. 10)

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Le propos de cet article est de faire le point sur les difficultés de communication entre les intervenants psychosociaux et les personnes affectées par la violence et les abus infligés aux enfants et aux jeunes en milieu de vie familial. Les données utilisées proviennent d’une recension d’écrits scientifiques et cliniques portant sur le(s) secret(s) entourant ce type de violence. Il ressort de cette recension que l’existence de ce(s) secret(s) complique le processus de communication. D’une part, l’intervenant se bute à ce que l’on appelle dans la littérature recensée le ’secret familial’ et, d’autre part, il doit composer avec les problèmes que pose la représentation sociale de cette forme de violence. » (p. 7)