La marge comme espace culturel. Territoire, identité et communauté chez les jeunes migrants innus (montagnais) et attikameks au Québec

La marge comme espace culturel. Territoire, identité et communauté chez les jeunes migrants innus (montagnais) et attikameks au Québec

La marge comme espace culturel. Territoire, identité et communauté chez les jeunes migrants innus (montagnais) et attikameks au Québec

La marge comme espace culturel. Territoire, identité et communauté chez les jeunes migrants innus (montagnais) et attikameks au Québecs

| Ajouter

Référence bibliographique [4257]

Girard, Camil et Lutumba Ntetu, Antoine. 2004. «La marge comme espace culturel. Territoire, identité et communauté chez les jeunes migrants innus (montagnais) et attikameks au Québec». Dans Les valeurs des jeunes , sous la dir. de Gilles Pronovost et Royer, Chantal, p. 208-223. Sainte-Foy (Québec): Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Autour des questions plus spécifiques de l’insertion dans la vie adulte par les études, le travail, la création du couple ou de la famille, la mobilisation spatiale semble s’imposer comme une norme sociale, et cela, tant à l’intérieur des États-nations que sur le plan international. Comment cela se passe-t-il chez les Québécois en général (objet d’étude sur la migration) et chez les jeunes issus des Premières nations dont il est question dans le présent article? » (p. 206)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
22 jeunes adultes d’origine autochtone (nation innue ou attikamek)

Instruments :
Guide d’enquête semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Les jeunes migrants autochtones dont les propos sont analysés dans le présent article ressemblent aux autres jeunes québécois qui ont été étudiés lors des enquêtes précédentes. Les départs de leur milieu d’origine leur permettent d’aspirer à une vie meilleure. Ils désirent, par leurs études et par leur travail, devenir des membres à part entière de leur communauté. » (p. 220)
« Quant aux rapports distants que les jeunes autochtones entretiennent avec leurs parents, ils semblent être compensés par les liens privilégiés qui sont entretenus avec leurs grands-parents. Sous ce rapport, les grands-parents viennent jouer un rôle de transfert intergénérationnel important dans le système de valeurs des jeunes migrants autochtones. » (p. 221)