Dysphasie et fonctionnement familial : des parents nous font part de leurs perceptions

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Référence bibliographique [4145]

Michallet, Bernard, Boudreault, Paul, Théolis, Manon et Lamirande, Kathleen. 2004. «Dysphasie et fonctionnement familial : des parents nous font part de leurs perceptions ». ANAE - Approche neuropsychologique des apprentissages chez l’enfant, no 76-77, p. 38-41.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Cette étude s’inscrit dans un ensemble de recherches sur la dysphasie initié par un groupe de recherche québécois en émergence. » (p. 38)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Des ateliers de groupes de discussion (focus groups) ont été organisés dans quatre régions du Québec (Lanaudière, Laurentides, Montréal et Outaouais) afin de permettre aux parents de ces enfants de faire valoir leurs propres expériences. Ces groupes réunissaient entre 15 et 20 parents d’enfants dysphasiques de 3 à 18 ans. » (p. 38)

Instruments :
Guide d’entretien

Types de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Plusieurs points importants ressortent des résultats de cette étude. D’abord, la dysphasie a de nombreuses conséquences sur les habitudes de vie de l’enfant qui en est atteint, et notamment sur sa communication. Elle a aussi un impact réel sur les habitudes de vie de la famille de cet enfant. Autrement dit, la dysphasie n’est pas qu’un problème de langage ou de communication. C’est un problème qui vient perturber les relations qu’entretiennent les parents avec leur enfant, mais aussi la dynamique familiale, les relations de couple, les relations interpersonnelles avec la famille élargie et l’entourage, les loisirs, la vie professionnelle, la santé physique et mentale, etc. En ce sens, la dysphasie est un problème social qui génère des coûts sociaux élevés. » (p. 38)