La prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence : doit-on intégrer les parents?

La prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence : doit-on intégrer les parents?

La prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence : doit-on intégrer les parents?

La prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence : doit-on intégrer les parents?s

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Référence bibliographique [4126]

Nadeau, Véronique. 2004. «La prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence : doit-on intégrer les parents?». Essai de maîtrise, Sherbrooke, Université de Sherbrooke, Département de service social.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« L’essai consiste [...] à développer un modèle d’intervention ayant pour but de prévenir la violence au sein des relations amoureuses à l’adolescence, tout en sollicitant la collaboration des parents. » (p. 6)

Questions/Hypothèses :
« L’ensemble de l’analyse théorique nous amène à élaborer l’hypothèse selon laquelle il serait pertinent d’intégrer les parents à la prévention de la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence. » (p. 5)

2. Méthode


Instruments :
- Mises en situation tirées du Rapport de stage : « Ateliers de prévention sur la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence » (Nadeau, 2003);
- Document « Mythes ou réalités » inspiré de l’Escale de l’Estrie (Nadeau, 2003);
- Questionnaire utilisé auprès d’adolescents dans le cadre d’interventions en prévention de la violence dans les relations amoureuses.

Type de traitement des données :
Essai

3. Résumé


« Dans le cadre de cet essai, notre démarche consistait à démontrer que les parents occupent un rôle important dans la problématique de la violence chez les couples d’adolescents, mais qu’ils sont néanmoins absents des programmes d’intervention. L’analyse des écrits a d’abord éclairé la problématique et fait ressortir le cadre théorique de notre analyse. Afin de connaître la place des parents dans l’intervention au Québec, nous avons ensuite examiné quatre pratiques de nature préventive pour finalement parvenir au constat que la famille est rarement sollicitée. Cette analyse aura permis de développer un modèle d’intervention misant sur la collaboration des familles. Nous sommes conscient [sic] que cette démarche déroge tant à la norme théorique qu’à celle des pratiques actuelles qui n’associent guère approche féministe et approche familiale systémique. Assurément, cette démarche exige une ouverture d’esprit et surtout, une énorme croyance au potentiel de la famille. Toutefois, afin de maximiser les résultats positifs dans la prévention de la violence au sein des relations amoureuses à l’adolescence, nous avons la certitude que l’intégration des parents constitue un élément stratégique de l’intervention. » (p. 69)