1. Objectifs

Intentions :
Tirer au clair les enjeux éthiques, légaux et humains de l’extrême prématurité.

2. Méthode

Type de traitement des données :
Ouvrage collectif

3. Résumé

« Il y a une génération, les nouveau-nés aujourd’hui considérés comme extrêmement prématurés mouraient presque tous. En 2005, grâce à ses progrès constants, la médecine offre d’assurer la survie de plusieurs de ces prématurés. Après coup, la décision de sauver le nouveau-né est applaudie lorsque l’enfant se développe bien. Par contre, la même décision est critiquée lorsque l’enfant manifeste de lourds handicaps. L’incertitude du pronostic caractérise le contexte clinique de l’extrême prématurité. Pouvons-nous décider de ne pas tout tenter pour sauver un nouveau-né? En droit, à qui revient cette décision? Du point de vue de l’éthique, comment délibérer pour parvenir à une décision aussi éclairée que possible? Comment l’équipe soignante doit-elle se comporter pour être bienfaisante à l’égard des parents? » (quatrième de couverture)
Cet ouvrage est un compte rendu du forum « Les enjeux éthiques de l’extrême prématurité : une journée de réflexion interdisciplinaire », organisé par l’Institut de consultation et de recherche en éthique et en droit (ICRED).

Les quatre communications suivantes font également l’objet d’une fiche dans Famili@ :
1- Annick Boisclair. « Enjeux de l’extrême prématurité : état de la réflexion des acteurs », pp. 5-15.
2- Pascale St-Amand. « Les dimensions psychologiques de la prématurité », pp. 17-27.
3- Michel T. Giroux. « La dimension juridique de l’extrême prématurité : pour la clarté du rôle de chaque acteur », pp. 29-54.
4-Jean Dorval et Bruno Hébert. « Quelques balises éthiques pour composer avec le sort incertain des extrêmes prématurés », pp. 55-64.