Understanding Putative Risk Factors for Schizophrenia: Retrospective and Prospective Studies
Understanding Putative Risk Factors for Schizophrenia: Retrospective and Prospective Studies
Understanding Putative Risk Factors for Schizophrenia: Retrospective and Prospective Studies
Understanding Putative Risk Factors for Schizophrenia: Retrospective and Prospective Studiess
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Référence bibliographique [3678]
King, Suzanne, Laplante, David et Joober, Ridha. 2005. «Understanding Putative Risk Factors for Schizophrenia: Retrospective and Prospective Studies ». Journal of Psychiatry and Neuroscience, vol. 30, no 5, p. 342-348.
Intentions : « Cette communication décrit un programme de recherche qui vise à faire mieux comprendre l’influence de plusieurs facteurs présumés de risque de schizophrénie sur le développement de l’enfant et la psychose. » (p. 314)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : « In June 1998, we recruited 224 women who had been pregnant during the crisis or who became pregnant within 3 months after the crisis. Our surveys teased apart their « objective » stress exposure (e.g., days without power) from their « subjective » reactions (e.g., post-traumatic stress symptoms) and physiologic reactions (7 samples of salivary cortisol over 24 hours). A series of follow-up assessments have occurred since the infants were 6 months old. » (p. 345)
Instruments : The Bayley Scales of Infant Development and the MacArthur Communicative Development Inventory
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
« [Dans cette communication], on décrit deux éléments constituants connexes du programme global : les projets EnviroGen rétrospectifs qui utilisent un éventail de facteurs présumés de risque pour expliquer la variation de plusieurs dimensions de la schizophrénie et des symptômes psychotiques chez des témoins communautaires, et le projet ’Tempête de verglas’ dans le cadre duquel on examine de façon prospective les effets du stress prénatal de la mère sur les enfants de femmes exposées à la tempête de verglas de 1998 qui a frappé le Québec pendant leur grossesse. Les projets EnviroGen ont réussi à expliquer la variation de plusieurs dimensions de la maladie, y compris l’adaptation prémorbide et la sévérité des symptômes de dissociation. Le projet ’Tempête de verglas’ a démontré les effets nocifs du stress prénatal sur le développement de la cognition et du langage chez les enfants. Nous avons aussi constaté que les ’enfants de la tempête de verglas’ exposés au cours de semaines précises de la gestation montrent une plus grande asymétrie dermatoglyphique comme on l’a signalé chez les échantillons de patients atteints de schizophrénie. Dans les deux études, on a établi un lien entre le stress prénatal chez la mère et des problèmes comportementaux plus sévères chez l’enfant. La combinaison d’études rétrospectives et prospectives constitue une riche source de résultats triangulaires qui produisent de l’information sur la psychopathologie du développement. » (p. 314)