Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d’entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie

Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d’entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie

Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d’entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie

Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d’entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésies

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Référence bibliographique [3087]

Hudon, Marie-Claude. 2006. «Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d’entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École de travail social, Département de sociologie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Avec le témoignage de [...] mères seules, nous voulons poursuivre la réflexion sur le potentiel du travail d’économie sociale à combattre la pauvreté des femmes. » (sommaire)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Dix répondantes (mères monoparentales travaillant dans une entreprise d’économie sociale).

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Avec les informations recueillies auprès de notre groupe de répondantes, nous constatons que les conditions de vie de la majorité d’entre elles se sont améliorées depuis leur embauche dans une EÉSAD. Cependant, les bénéfices de l’emploi se révèlent trop souvent insuffisants. Ainsi, en dépit des gains réalisés, divers facteurs responsables de la pauvreté subsistent, occasionnant des difficultés pour ces femmes. La faiblesse des salaires est un exemple. À travers l’expérience de nos répondantes, nous comprenons que l’économie sociale ne peut à elle seule mettre un frein à l’appauvrissement des femmes. Sur ce plan, les résultats de notre recherche rejoignent les résultats de nombreux autres travaux réalisés sur la question. Ils éclairent aussi le sens et la portée des revendications des groupes de femmes concernant leur conception de l’économie sociale. Soulignons, entre autres, que la situation de nos répondantes confirme que la participation de l’État et de l’entreprise privée s’avère indispensable dans la lutte contre la pauvreté. » (sommaire)